Feria IV 13 Martii 2024
Tertio Idus Martii, luna tertia.
Die 13 martii
1. Nicomedíæ in Bithynia, sanctórum mártyrum Macedónii, presbyteri, Patríciæ, uxóris, et Modéstæ, fíliæ.
1. À Nicomédie en Bithynie, les saints martyrs Macédonius, prêtre, Patricia, son épouse, et Modeste, sa fille.
2. Hermópoli in Ægýpto, sancti Sabíni, mártyris, qui multa passus est et tandem in flumen proiéctus occúbuit.
2. À Hermopolis en Égypte, vers 303, saint Sabin, martyr, qui fut cruellement torturé et enfin jeté dans le fleuve.
3. In Pérside, sanctæ Christínæ, mártyris, quæ, virgis percússa, martyrium consummávit sub Chósroe rege Persárum Primo.
3. En Perse, l’an 559, sainte Christine, martyre, qui aurait été frappée de verges jusqu’à la mort, sous le roi des Perses Chosroès Ier.
4*. Pictávii in Aquitánia, sancti Piéntii, epíscopi, qui beátæ Radegúndi surrimo auxílio fuit in cœnóbiis condéndis.
4*. À Poitiers, vers 564, saint Pient, évêque, qui aida sainte Radegonde à bâtir son monastère.
5. Híspali in Hispánia, sancti Leándri, epíscopi, qui, frater sanctórum Isidóri, Fulgéntii ac Florentínæ, prædicatióne et indústria sua gentem Visigothórum, Reccarédo rege eórum adiuvánte, ab ariána impietáte ad cathólicam fidem convértit.
5. À Séville en Espagne, vers 600, saint Léandre, évêque, frère des saints Isidore, Fulgence et Florentine. Par sa prédication et son activité pastorale, il fit passer de l’hérésie arienne à la foi catholique le peuple des Wisigoths, avec l’aide de leur roi Reccarède.
6*. In monastério Novaliciénsi ad pedes montis Cinísii in valle Segusína, sancti Eldrádi, abbátis, qui, divíni cultus studiósus, psaltérium emendávit novásque ecclésias exstruéndas curávit.
6*. Au monastère de Novalèse dans la vallée de Suse, au pied du Montcenis, vers 840, saint Eldrade, abbé, qui fut zélé pour le culte divin, institua la louange permanente des psaumes et prit soin de faire construire de nouvelles églises.
7. Córdubæ in Vandalícia Hispániæ regióne, pássio sanctórum Ruderíci, presbyteri, et Salomónis, mártyrum, quorum prior, cum Mahométum vere prophétam ab Omnipoténte missum crédere recusavísset, in cárcerem coniéctus est, ubi in Salomónem incúrrit, qui aliquámdiu ántea mahometánæ religióni adhæserat, et simul cápitis obtruncatióne agónis cursum glorióse perfecérunt.
7. À Cordoue en Andalousie, l’an 857, la passion des saints martyrs Rodrigue et Salomon. Le premier, qui était prêtre, refusa de croire que Mahomet était vraiment un prophète envoyé par le Tout-puissant et fut jeté en prison, où il tomba sur Salomon, qui avait adhéré un moment à l’islam. Tous deux donnèrent une fin glorieuse, par la décapitation, au parcours de leur combat.
8. Apud Camerínum in Picéno Itáliæ, sancti Ansovíni, epíscopi. 9*. In monastério Cavénsi in Campánia, beáti Petri Secúndi, abbátis.
8*. À Camerino dans les Marches, en 868, saint Ansovin, évêque.
10*. Oxónii in Anglia, beáti Agnélli de Pisis, presbyteri, qui, a sancto Francísco in Gálliam, dein in Angliam missus, Ordinem Minórum ibídem instítuit et sacras sciéntias promóvit.
9*. Au monastère de Cava en Campanie, l’an 1208, le bienheureux Pierre II, abbé.
11*. Erenéi in pago Meduáno Gálliæ, beátæ Francíscæ Tréhet, vírginis e Congregatióne a Caritáte et mártyris, quæ ad púeros instituéndos et ægrótos curándos omni stúdio se cóntulit et, témpore gállicæ perturbatiónis, pro Christo martyrium ferro complévit.
10*. À Oxford en Angleterre, le bienheureux Agnel de Pise, qui fut envoyé par saint François en France, puis en Angleterre, où il établit l’Ordre des Mineurs et promut les sciences sacrées.
11*. À Ernée dans le Maine, en 1794, la bienheureuse Françoise Tréhet, vierge, Sœur de la Charité. Elle se dévoua avec tout son zèle à enseigner les enfants et à soigner les malades et, au temps de la Révolution française, parce qu’elle avait refusé le serment à la Constitution civile du clergé et qu’elle avait donné asile à des prêtres, elle fut condamnée à mort et aussitôt guillotinée.
** Au Brésil, en 1992, la bienheureuse Dulce Lopes Pontes de Souza Brito, (le Bon Ange de la Bahia) religieuse des Sœurs Missionnaires de l'Immaculée Conception (béatifiée le 22 mai 2011 par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
v. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
r. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
r. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
v. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
r. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Is 55, 6-7)
Lecture brève (Is 55, 6-7)
Quærite Dóminum, dum inveníri potest; invocáte eum, dum prope est. Derelínquat ímpius viam suam, et vir iníquus cogitatiónes suas; et revertátur ad Dóminum, et miserébitur eius, et ad Deum nostrum, quóniam multus est ad ignoscéndum.
Cherchez le Seigneur, pendant qu'on peut Le trouver ; Invoquez-Le, tandis qu'Il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et le criminel ses pensées; qu'il revienne au Seigneur, et Il lui fera grâce ; à notre Dieu, car Il pardonne largement.
Verbum Dómini. r. Deo grátias.
Parole du Seigneur. r. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. r. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. r. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. r. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. r. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. r. Amen.
v. Ite in pace. r. Deo grátias.
v. Allez en paix. r. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.