Feria II 7 Octobris 2024
Nonis Octobris, luna quarta.
Die 7 octobris
1. Memória beátæ Maríæ Vírginis de Rosário, die quo per Rosárii seu mariális corónæ precatiónem sanctæ Dei Genetrícis præsídium invocátur ad Christi mysteriórum meditatiónem promovéndam, ipsa ducénte, quæ incarnatióni, passióni ac resurrectióni Fílii Dei singuláriter sociáta est.
1. Mémoire de Notre-Dame-du-Rosaire. Par la prière du Rosaire, le peuple chrétien invoque le secours de la sainte Mère de Dieu, en méditant, sous sa conduite, les mystères du Christ, elle qui fut associée, de manière unique, à l’incarnation, à la passion et à la résurrection du Fils de Dieu.
2. Cápuæ in Campánia, sancti Marcélli, mártyris.
2. À Capoue en Campanie, saint Marcel, martyr.
3. Patávii in Venétia, sanctæ lustínæ, vírginis et mártyris.
3. À Padoue en Vénétie, sainte Justine, vierge et martyre.
4. Bethsáloe in Augústa Euphratésia província Syriæ, sanctórum Sérgii et Bacchi, mártyrum.
4. À Rosafa en Euphratésie de Syrie, au IIIe ou IVe siècle, les saints Serge et Bacchus, martyrs.
5. Romæ, sancti Marci, papæ, qui títulum in Pallacínis cóndidit et basílicam in cœmetério Balbínæ via Ardeatína, ubi ipse humátus est.
5. À Rome, en 336, saint Marc, pape, qui construisit un titre dans le quartier de Pallacine au cœur de la ville, et une basilique au cimetière de Balbine sur la voie Ardéatine, où il fut inhumé.
6. Apud Biturígas in Aquitánia, sancti Augústi, presbyteri et abbátis, qui, mánibus pedibúsque ádeo contráctis, ut non áliter quam si génibus et cúbitis se sustentáret, sancti Martíni intercessióne sanátus, mónachos congregávit et contínuo oratióni vacávit.
6. À Bourges, vers 560, saint Auguste, prêtre et abbé, qui avait les mains et les pieds si contractés qu’il ne pouvait s’appuyer que sur les coudes et les genoux, mais, guéri par l’intercession de saint Martin, il rassembla des moines et se livra à la prière sans interruption.
7*. Sántonis item in Aquitánia, sancti Palládii, epíscopi, qui super sancti Eutrópii túmulum basílicam eréxit et sanctórum cultum in civitáte sua ampliávit.
7*. À Saintes, après 596, saint Pallais, évêque, qui construisit une basilique sur la tombe de saint Eutrope et développa dans sa cité le culte des saints.
8*. In monastério Bellofonténsi in Legionénsi regno, beáti Martíni, cognoménto Cid, abbátis, qui hoc cœnóbium fundávit et ad Ordinem Cisterciénsem aggregávit.
8*. Au monastère de Bellofonte, au pays de León en Espagne, l’an 1152, le bienheureux Martin, surnommé Cid, abbé, qui fonda ce monastère et l’agrégea à l’Ordre de Cîteaux.
9*. In freto maris in Rupifórtium Gálliæ vergénte, beáti Ioánnis Hunot, presbyteri et mártyris, qui, in gállica perturbatióne ob sacerdótium in navem servitútis trusus, fidelitáte erga Deum cursum captivitátis suæ complévit.
9*. Dans la baie devant le port de Rochefort, en 1794, le bienheureux Jean Hunot, prêtre de Sens et martyr. Comme son cousin François, décédé la veille, chanoine de Brienon, il fut également, sous la Révolution française, déporté sur un bateau négrier, et mourut de maladie, après avoir fait publiquement sa profession de foi, à l’édification de ses confrères.
10*. In vico Benaguacil in pago Valentíno Hispániæ, beáti Ioséphi Llosá Balaguer, religiósi e Tértio Ordine Sancti Francísci Capulatórum a beáta Vírgine Perdolénti et mártyris, qui in persecutióne erga fidem martyrium passus est.
10*. À Benaguacil, dans la région de Valence en Espagne, en 1936, le bienheureux Joseph Llosa Balaguer, religieux du Tiers-Ordre capucin de Notre-Dame des Douleurs et martyr, victime de la persécution déchaînée contre l’Église au cours de la guerre civile.
** En Italie, en 1918, le bienheureux Giuseppe Toniolo père de famille économiste et sociologue. (béatifié le 29 avril 2012 par Benoît XVI)
** En Italie, en 1990, la bienheureuse Chiara Banado, mystique de la souffrance jeune femme ayant appartenu au mouvement des Focolari. (béatifiée le 25 septembre par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de  Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Iudt 13, 18-19)
Lecture brève (Iudt 13, 18-19)
Benedícta tu es, fília, a Deo excélso præ ómnibus muliéribus, quæ sunt super terram. Et benedíctus Dóminus, Deus noster, qui creávit cælum et terram, qui diréxit te in vulnus cápitis príncipis inimicórum nostrórum. Quóniam non discédet laus tua a corde hóminum memorántium virtútis Dei usque in sempitérnum.
Ma fille, tu es bénie par le Seigneur, le Dieu très haut, plus que toutes les femmes qui sont sur la terre. Béni soit le Seigneur, créateur du ciel et de la terre, qui a conduit ta main pour trancher la tête au plus grand de nos ennemis. Il a rendu aujourd'hui ton nom si glorieux, que ta louange ne disparaîtra pas de la bouche des hommes, qui se souviendront éternellement de la puissance du Seigneur.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :

Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.

Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.
Retour en haut