Introitus
Introït
Ps. 96, 7-8
annotation: 7;
%%
(c2) AD(c)o(ff)rá(g)te(f) *() De(g_[oh:h]f)um(fhg/hffe.) (,) o(ef'g~)mnes(g) An(ii)ge(jiif)li(f_d) e(ef~)ius :(c.) (:) au(d)dí(ffd)vit,(fe/fddc.) (,) et(dfe) lae(fg)tá(gh)ta(f_d) est(ff) Si(fgF'E)on :(f.) (:) et(f) ex(g)sul(f)ta(fg)vé(gffvED)runt(ff) (,) fí(g)li(c)ae(c.d!ewf_e) Iu(fffd/ffd)dae.(dc..) (::) Ps. Dó(cfe)mi(fg)nus(g) re(g)gná(g)vit,(g) ex(g)súl(gi)tet(h) ter(hg~)ra :(gh..) *(:) lae(ge)tén(fg)tur(g) ín(g!hwi)su(g')lae(f) mul(fff)tae.(dc..) (::) Gló(cfe)ri(fg)a(g) Pa(g)tri.(g) (::) E(g) u(g!hwi) o(g') u(f) a(fff) e.(dc..) (::)
ADORÁTE Deum, omnes Angeli eius: audívit, et lætáta est Sion: et exsultavérunt fíliæ Iudæ. Ps. ibid., 1 Dóminus regnávit, exsúltet terra: læténtur ínsulæ multæ. ℣. Glória Patri.
Adorez Dieu, tous Ses anges : pour Sion qui entend, grande joie : les filles de Juda exultent.
Ps. Le Seigneur est règne, exulte la terre.
Que se réjouissent les îles sans nombre. ℣. Gloire au Père.
Ps. Le Seigneur est règne, exulte la terre.
Que se réjouissent les îles sans nombre. ℣. Gloire au Père.
annotation: 3;%%(c4) KY(g)ri(hi)e(ii) *() e(g)lé(h_)i(i)son. (i.) bis(::)
Chrí(k)ste(ij) e(h)lé(h_)i(i)son. (i.) bis(::)
Ký(g)ri(hi)e(ii) e(g)lé(h_)i(i)son.(i.) (::)
Ký(g)ri(hi)e(ii) () e(g)lé(hj)i(h)son.(ig/hvGFE.) (::)
Collecta
Collecte
Omnípotens sempitérne Deus, dírige actus nostros in beneplácito tuo, † ut in nómine dilécti Fílii * tui mereámur bonis opéribus abundáre. Per Dóminum.
Dieu éternel et tout-puissant, daigne diriger nos actions selon Ton bon plaisir, afin qu'au Nom de Ton Fils bien-aimé, nous puissions fructifier en bonnes œuvres.
Lectio I
Ière lecture
Léctio Epístolæ ad Hebrǽos (11,1-19)
Est fides sperándo rum substántia, rerum arguméntum non apparéntium. In hac enim testimónium consecúti sunt senióres. Fide intellégimus aptáta esse sǽcula verbo Dei, ut ex invisibílibus visibília facta sint. Fide ampliórem hóstiam Abel quam Cain óbtulit Deo, per quam testimónium consecútus est esse iústus, testimónium perhibénte munéribus eíus Deo; et per illam defúnctus adhuc lóquitur. Fide Henoch translátus est, ne vidéret mortem, et non inveniebátur, quia tránstulit illum Deus; ante translatiónem enim testimónium accépit placuísse Deo. Sine fide autem impossíbile placére; crédere enim opórtet accedéntem ad Deum quia est et inquiréntibus se remunerátor fit. Fide Nœ, respónso accépto de his, quæ adhuc non videbántur, revéritus aptávit arcam in salútem domus suæ; per quam damnávit mundum, et iustítiæ, quæ secúndum fidem est, heres est institútus. Fide vocátus Ábraham obœdívit in locum exíre, quem acceptúrus erat in hereditátem; et exívit nésciens quo iret. Fide peregrinátus est in terra promissiónis tamquam in aliéna, in cásulis habitándo cum Ísaac et Iácob, coherédibus promissiónis eiúsdem; exspectábat enim fundaménta habéntem civitátem, cuíus ártifex et cónditor Deus. Fide – et ipsa Sara stérilis – virtútem in conceptiónem séminis accépit étiam præter tempus ætátis, quóniam fidélem crédidit esse, qui promíserat; propter quod et ab uno orti sunt, et hoc emórtuo, tamquam sídera cæli in multitúdine, et sicut aréna, quæ est ad oram maris, innumerábilis. Iúxta fidem defúncti sunt omnes isti, non accéptis promissiónibus, sed a longe eas aspiciéntes et salutántes, et confiténtes quia peregríni et hóspites sunt supra terram; qui enim hæc dicunt, signíficant se pátriam inquírere. Et si quidem illíus meminíssent, de qua exíerant, habébant útique tempus reverténdi; nunc autem meliórem appétunt, id est cæléstem. Ídeo non confúnditur Deus vocári Deus eórum, parávit enim illis civitátem. Fide óbtulit Ábraham Ísaac, cum tentarétur; et unigénitum offerébat ille, qui suscéperat promissiónes, ad quem dictum erat: “In Ísaac vocábitur tibi semen”, arbitrátus quia et a mórtuis suscitáre potens est Deus; unde eum et in parábola reportávit.
La foi est la substance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. C'est par elle que les anciens ont obtenu un bon témoignage. C'est par la foi que nous savons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qui était invisible est devenu visible. C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn, et qu'il obtint le témoignage d'être juste, Dieu approuvant ses offrandes, et c'est par elle que, quoique mort, il parle encore.
C'est par la foi qu'Hénoch a été enlevé, pour ne pas voir la mort, et on ne le trouvait plus, parce que Dieu l'avait enlevé; car avant d'être enlevé, il avait reçu le témoignage qu'il avait plu à Dieu. Or, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie qu'Il existe, et qu'Il récompense ceux qui Le cherchent. C'est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait pas encore, saisi de crainte, bâtit l'arche pour sauver sa famille, et par elle il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui vient de la foi. C'est par la foi qu'Abraham, lors de son appel, obéit en partant pour le pays qu'il devait recevoir en héritage; et il partit, ne sachant pas où il allait. C'est par la foi qu'il séjourna dans la terre qui lui avait été promise, comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu'Isaac et Jacob, héritiers avec lui de la même promesse. Car il attendait la cité aux solides fondements, dont Dieu est le fondateur et l'architecte. C'est par la foi que Sara aussi, quoique stérile, reçut la vertu de concevoir, malgré son âge avancé, parce qu'elle crut fidèle Celui qui avait fait la promesse. C'est pourquoi d'un seul homme, déjà usé de corps, est sortie une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, et comme le sable qui est sur le bord de la mer, qu'on ne peut compter. C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir reçu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, confessant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. Car ceux qui parlent ainsi montrent bien qu'ils cherchent une patrie. Et s'ils avaient eu en vue celle dont ils étaient sortis, ils avaient le temps d'y retourner; mais ils en désiraient une meilleure, c'est-à-dire une céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte de S'appeler leur Dieu, car Il leur a préparé une cité. C'est par la foi qu'Abraham offrit Isaac, lorsqu'il fut mis à l'épreuve; et il offrait son fils unique, lui qui avait reçu les promesses, à qui il avait été dit: C'est par Isaac que tu auras une postérité appelée de ton nom. Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter d'entre les morts; aussi le recouvra-t-il comme en figure.
C'est par la foi qu'Hénoch a été enlevé, pour ne pas voir la mort, et on ne le trouvait plus, parce que Dieu l'avait enlevé; car avant d'être enlevé, il avait reçu le témoignage qu'il avait plu à Dieu. Or, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie qu'Il existe, et qu'Il récompense ceux qui Le cherchent. C'est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu'on ne voyait pas encore, saisi de crainte, bâtit l'arche pour sauver sa famille, et par elle il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui vient de la foi. C'est par la foi qu'Abraham, lors de son appel, obéit en partant pour le pays qu'il devait recevoir en héritage; et il partit, ne sachant pas où il allait. C'est par la foi qu'il séjourna dans la terre qui lui avait été promise, comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu'Isaac et Jacob, héritiers avec lui de la même promesse. Car il attendait la cité aux solides fondements, dont Dieu est le fondateur et l'architecte. C'est par la foi que Sara aussi, quoique stérile, reçut la vertu de concevoir, malgré son âge avancé, parce qu'elle crut fidèle Celui qui avait fait la promesse. C'est pourquoi d'un seul homme, déjà usé de corps, est sortie une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, et comme le sable qui est sur le bord de la mer, qu'on ne peut compter. C'est dans la foi qu'ils sont tous morts, sans avoir reçu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, confessant qu'ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. Car ceux qui parlent ainsi montrent bien qu'ils cherchent une patrie. Et s'ils avaient eu en vue celle dont ils étaient sortis, ils avaient le temps d'y retourner; mais ils en désiraient une meilleure, c'est-à-dire une céleste. C'est pourquoi Dieu n'a pas honte de S'appeler leur Dieu, car Il leur a préparé une cité. C'est par la foi qu'Abraham offrit Isaac, lorsqu'il fut mis à l'épreuve; et il offrait son fils unique, lui qui avait reçu les promesses, à qui il avait été dit: C'est par Isaac que tu auras une postérité appelée de ton nom. Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter d'entre les morts; aussi le recouvra-t-il comme en figure.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Graduale
Graduel
Ps. 101, 16-17
Ps. 101, 16-17
annotation: 5;
%%
(c4) TI(d)mé(ff)bunt(gh~) gen(h_fgvFED.g_[oh:h]e/fg)tes(f.) (;) * no(hf/gh!jj/kjk)men(jij) tu(h_g/h/jjvH'GF)um,(h_g~) Dó(f)mi(fg!hvGF'g)ne,(gf..) (:) et(f) o(ghgh)mnes(jhhg) re(h!iwj)ges(j_i) (`) ter(jkJ'IH)rae(hjH'GhjjhjvvIH'jggf.0) (;) gló(fg'hfg'h)ri(gf)am(fv.ef!gvgf.0) (,) tu(f!hhh//gh!jjjhjvvIH'jg./f.0h!iw!jvIH'GF'f//hvGFgf)am.(f.) (z0::c3)
V/. Quó(d)ni(d)am(d) ae(d)di(d)fi(fe)cá(eh)vit(h.) (,) Dó(h)mi(h)nus(ihh'hh_f//hhf/hhegxfgE0/[-0.5]{/[0.5]gy}D0.0/[-0.5]hhjvIH'//hvGF.) (;) Si(hi)on,(i_[oh:h]h/i/kkh i_[oh:h]h/kkkvIH'//hvGF.) (:) et(f) vi(hf)dé(h)bi(hfh)tur(hhhvF'Ef!hhhf/hhhvGF'hee[ll:1]d.0) (;) in(d) ma(d)ie(d)stá(dfE'D)te(ef) su(fhG'Fhhh)a.(hhf.) (,) (gxg_[oh:h]fgvED.fgED.fehv.hhhff//dfe/fee[ll:1]d.0) (::)
℟. Timébunt gentes nomen tuum, Dómine, et omnes reges terræ glóriam tuam. ℣. Quóniam ædificávit Dóminus Sion, et vidébitur in maiestáte sua.
℟. Les nations craindront Ton Nom, Seigneur, et tous les rois de la terre Ta gloire, ℣. Parce que le Seigneur a bâti Sion, et qu'Il sera vu dans Sa majesté.
Allelúia
Alléluia
Ps. 96, 1
℟. Allelúia. ℣. Dóminus regnávit, exsúltet terra: læténtur ínsulæ multæ. Allelúia.
℟. Alléluia. ℣. Le Seigneur règne, exulte la terre. Que se réjouissent les îles sans nombre.
Evangelium
Evangile
Léctio sancti Evangélii secúndum Marcum (4,35-40)
In illa die, cum sero esset factum, ait Iesus discípulis suis : « Transeámus contra » . Et dimitténtes turbam, assúmunt eum ut erat in navi, et áliæ naves erant cum ilio. Et exóritur procélla magna venti, et fluctus se mittébant in navem, ita ut iam implerétur navis. Et erat ipse in puppi supra cervícal dormiens; et· éxcitant eum et dicunt ei: « Magíster, non ad te pértinet quia perímus? » Et exsurgens comminátus est vento, et dixit mari: « Tace, obmutésce » . Et cessavit ventus, et facta est tranqufllitas magna. Et ait illis : « Quid tímidi estis ? Necdum habétis fidem? » Et timuérunt magno timóre, et dicébant ad altérutrum : « Quis, putas, est iste, quia et ventus et mare obóédiunt ei? »
Ce jour là, lorsque le soir fut venu, Jésus dit à Ses disciples : Passons sur l'autre bord. Et ayant renvoyé la foule, ils L'emmenèrent avec eux dans la barque tel qu'Il était, et d'autres barques Le suivaient. Et il s'éleva un grand tourbillon de vent, et les flots entraient dans la barque, de sorte qu'elle se remplissait. Et Lui, Il dormait à la poupe, sur un coussin. Ils Le réveillent, et Lui disent: Maître, Vous est-il indifférent que nous périssions? Alors, S'étant levé, Il menaça le vent, et dit à la mer: Tais-toi, calme-toi. Et le vent cessa, et il se fit un grand calme. Puis Il leur dit: Pourquoi êtes-vous effrayés? N'avez-vous pas encore la foi? Et ils furent saisis d'une grande crainte; et ils se disaient l'un à l'autre: Quel est donc Celui-ci, à qui les vents et les mers obéissent?
Verbum Dómini. ℟. Laus tibi, Christe.
Parole du Seigneur. ℟. Louange à Toi, ô Christ.
Offertorium
Offertoire
Ps. 117, 16 et 17
annotation: 2;
%%
(c4) DEx(e!g'h)te(hiH'G)ra(g.ggg/hihi) Dó(gh)mi(efED'e)ni(e[ll:1]d..) *(;) fe(de/ghg___)cit(h.) vir(hi!kki/j_k)tú(hv.gih)tem,(h.) (:) déx(jj)te(j_i)ra(jjj_h) Dó(hjjh)mi(h)ni(h.) (,) ex(g)al(h)tá(hjj'1jjh/kjjh)vit(hiH'~G~) me :(hg..) (:) non(h!iwj') mó(j)ri(jvIH)ar,(h.) (,) sed(g!jjj) vi(hig)vam,(e!geg.) (;) et(d) nar(e)rá(g)bo(e) ó(ghg___)pe(h)ra(h./jkj'kvJ'IH) Dó(h)mi(h)ni.(h!iwjjvIHiih.0) (::)
Déxtera Dómini fecit virtútem, déxtera Dómini exaltávit me: non móriar, sed vivam, et narrábo ópera Dómini.
La droite du Seigneur a fait éclater Sa puissance, la droite du Seigneur m’a exalté. Je ne mourrai point, mais je vivrai, et je raconterai les œuvres du Seigneur.
Super oblata
Sur les oblats
Stans postea in medio altaris, versus ad populum, extendens et iungens manus, dicit:
Après cela, debout au centre de l'autel, tourné vers le peuple, en étendant puis joignant les mains, il dit :
Oráte, fratres, ut meum ac vestrum sacrifícium acceptábile fiat apud Deum Patrem omnipoténtem.
Priez, mes frères, pour que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, puisse être agréé par Dieu le Père tout-puissant.
Populus surgit et respondet:
Le peuple se lève et répond :
Suscípiat Dóminus sacrifícium de mánibus tuis ad laudem et glóriam nóminis sui, ad utilitátem quoque nostram totiúsque Ecclésiæ suæ sanctæ.
Que le Seigneur reçoive de vos mains le sacrifice, à la louange et à la gloire de Son nom, et aussi pour notre bien et celui de toute Sa sainte Église.
Múnera nostra, Dómine, súscipe placátus, quæ sanctificándo nobis, quǽsumus, salutária fore concéde. Per Christum.
Accueille nos dons, Seigneur, pour qu'ils soient sanctifiés, et qu'ils deviennent pour nous, nous T'en prions, un remède.
Dóminus vobíscum. ℟. Et cum spíritu tuo. ℣. Sursum corda. ℟. Habémus ad Dóminum. ℣. Grátias agámus Dómino Deo nostro. ℟. Dignum et iustum est.
Le Seigneur soit avec vous ℟. Et avec votre esprit. ℣. Haut les cœurs. ℟. Nous les avons dans le Seigneur. ℣. Rendons grâces au Seigneur notre Dieu. ℟. Cela est juste et bon.
PRÆFATIO COMMUNIS VI
VIème PRÉFACE COMMUNE
De mysterio salutis in Christo
Du mystère du salut dans le Christ
Vere dignum et iustum est, æquum et salutáre, nos tibi, sancte Pater, semper et ubíque grátias ágere per Fílium dilectiónis tuæ Iesum Christum, Verbum tuum per quod cuncta fecísti:
Il est vraiment digne et juste, équitable et salutaire, que nous te rendions grâce toujours et partout, Père saint, par ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, ton Verbe par qui tu as tout créé :
quem misísti nobis Salvatórem et Redemptórem, incarnátum de Spíritu Sancto et ex Vírgine natum.
Toi qui nous as envoyé un Sauveur et Rédempteur, incarné par l'Esprit Saint et né de la Vierge.
Qui voluntátem tuam adímplens et pópulum tibi sanctum acquírens exténdit manus cum paterétur, ut mortem sólveret et resurrectiónem manifestáret.
Qui, accomplissant Ta volonté et T'acquérant un peuple saint, étendit les mains dans Sa Passion, afin de vaincre la mort et manifester la résurrection.
Et ídeo cum Angelis et ómnibus Sanctis glóriam tuam prædicámus, una voce dicéntes:
C'est pourquoi, avec les Anges et tous les Saints, nous proclamons ta gloire, d'une seule voix, disant :
Sanctus, Sanctus, Sanctus Dóminus Deus Sábaoth...
Saint, Saint, Saint, le Seigneur Dieu des Armées...
annotation: 2;%%(f3) SAn(h)ctus,(fe) *(,) San(f)ctus,(hg) (,) San(f')ctus(e) (,) Dó(fh)mi(h)nus(h.) De(hg)us(f') Sá(g)ba(hi)oth.(i.) (:) Ple(i')ni(i) sunt(j') cae(i)li(h') et(h) ter(hg)ra(f.) gló(g')ri(f)a(e) tu(fg)a.(g.) (:) Ho(i')sán(i)na(iivHG') in(g) ex(gf)cél(ghi)sis.(hg..) (:) Be(g')ne(i)dí(ij)ctus(i') qui(h) ve(hg)nit(f.) (,) in(h) nó(ghi)mi(hg)ne(fe) Dó(fg)mi(g)ni.(g.) (:) Ho(i')sán(i)na(iivHG') in(g) ex(gf)cél(e.f!gwh)sis.(gf..) (::)
annotation: 2;%%(c4) A(eg)gnus(f) De(fe)i,(cd!eved.0) *(,) qui(e') tol(g)lis(gh) pec(h')cá(h)ta(hg) mun(higg)di :(e.) (;) mi(g')se(f)ré(fe)re(dc) no(efd)bis.(d.) (::)
A(e')gnus(g) De(gh)i,(h.) *(,) qui(h) tol(h')lis(h) pec(hg)cá(gi)ta(i) mun(hi)di :(h.) (;) mi(h)se(hg)ré(h)re(hih) no(gf)bis.(e.) (::)
A(eg)gnus(f) De(fe)i,(cd!eved.0) *(,) qui(e') tol(g)lis(gh) pec(h')cá(h)ta(hg) mun(higg)di :(e.) (;) do(g')na(f) no(fe)bis(dc) pa(efd)cem.(d.) (::)
Communio
Communion
Luc. 4, 22
annotation: 7;
%%
(c3) MI(ef)ra(e.f!gwh)bán(hhhvGF)tur(h.f!gw!hvGF) o(ef/gfg)mnes(fe..) *(;) de(ehg___/hih/ij) his(i.) quae(ef) pro(efED')ce(f)dé(hi)bant(hih.) (;) de(hi) o(ihhvGF)re(h.) De(fhee[ll:1]d//ef'g)i.(fe..) (::)
Mirabántur omnes de his, quæ procedébant de ore Dei.
Tous Lui rendaient témoignage, et ils admiraient les paroles de grâce qui sortaient de la bouche de Dieu.
Post communionem
Post communion
Præsta nobis, quǽsumus, omnípotens Deus, ut, vivificatiónis tuæ grátiam consequéntes, in tuo semper múnere gloriémur. Per Christum.
Accorde-nous, nous T'en prions, Dieu tout-puissant, que nous, qui obtenons la grâce de Ta vivification, nous nous glorifions toujours dans Ton service.
Ad Missam lectam:
A la Messe lue :
Ant. ad introitum
Ant. à l'introït
Cf. Ps 95, 1.6
Cantáte Dómino cánticum novum, cantáte Dómino, omnis terra. Conféssio et pulchritúdo in conspéctu eius, sánctitas et magnificéntia in sanctificatióne eius.
Chantez au Seigneur un cantique nouveau ; chantez au Seigneur, (habitants de) toute la terre. La louange et la splendeur (beauté) sont devant Lui ; la sainteté et la magnificence dans Son sanctuaire.
Ant. ad communionem
Ant. à la communion
Cf. Ps 33, 6
Accédite ad Dóminum et illuminámini, et fácies vestræ non confundéntur.
Approchez-vous de Lui, et vous serez éclairés ; et vos visages ne seront pas couverts de confusion.
Vel: Io 8, 12
Ego sum lux mundi, dicit Dóminus; qui séquitur me, non ámbulat in ténebris, sed habébit lumen vitæ.
Je suis la lumière du monde ; celui qui Me suit ne marche pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.