Introitus
Introït
Ps. 46, 2
annotation: 6; %% (c4) O(fffvDC'dff/hgh)mnes(f) gen(hgh)tes(gv.fgFD.1) (,) * pláu(ff)di(f)te(gvF'Ef') má(d)ni(d_[oh:h]e_[oh:h]d_[oh:h])bus :(d.) (:) iu(f)bi(ghg)lá(h/jij)te(h) De(fhG'FhvGFgf)o(f.) (;) in(df~) vo(f)ce(fff) ex(f)sul(de~)ta(c)ti(ff)ó(fh/ghf)nis.(f.) (::) Ps. Quó(fg)ni(gf)am(gh) Dó(h)mi(h)nus(h) ex(h)cél(g)sus,(ixi) ter(h)rí(g)bi(f)lis :(f.) (:) * Rex(h) ma(hj)gnus(g) su(f')per(g) o(fd~)mnem(f') ter(g)ram.(f.) (::) Gló(fg)ri(gf)a(gh) Pa(h)tri.(h) (::) E(f') u(g) o(fd) u(f') a(g) e.(f.) (::)
OMNES gentes, pláudite mánibus: iubiláte Deo in voce exsultatiónis. Ps. ibid., 3 Quóniam Dóminus excélsus, terríbilis: Rex magnus super omnem terram. ℣. Glória Patri.
Nations, battez toutes des mains ; célébrez Dieu par des cris d’allégresse. Ps. Car le Seigneur est très haut et terrible, roi suprême sur toute la terre. ℣. Gloire au Père.
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Collecte
Deus, cuius Fílius hódie in cælos, Apóstolis astántibus, ascéndit, concéde nobis, quǽsumus, ut secúndum eius promíssionem et ille nobíscum semper in terris et nos cum eo in cælo vívere mereámur.
Dieu dont le dont monte aux cieux, en présence des apôtres, accorde-nous, nous T'en prions, que selon Sa promesse Il demeure toujours avec nous sur la terre et que nous puissions vivre avec lui dans le ciel.
Lectio I
Ière lecture
Léctio Actuum Apostolórum (15,1-2.22-29)
In diebus illis: quidam descendéntes de Iudǽa docébant fratres: “Nísi circumcidámini secúndum morem Móysis, non potéstis salvi fíeri.” Facta autem seditióne et conquisitióne non mínima Paulo et Bárnabæ advérsum illos, statuérunt, ut ascénderent Paulus et Bárnabas et quidam álii ex illis ad apóstolos et presbýteros in Ierusálem super hac quæstióne. Tunc plácuit apóstolis et presbýteris cum omni ecclésia eléctos viros ex eis míttere Antiochíam cum Paulo et Bárnaba: Iúdam, qui cognominátur Barsábbas, et Silam, viros primos in frátribus, scribéntes per manum eórum: “Apóstoli et presbýteri fratres his, qui sunt Antiochíæ et Sýriæ et Cilíciæ, frátribus ex géntibus, salútem! Quóniam audívimus quia quidam ex nobis, quibus non mandávimus, exeúntes turbavérunt vos verbis everténtes ánimas vestras, plácuit nobis colléctis in unum elígere viros et míttere ad vos cum caríssimis nobis Bárnaba et Paulo, homínibus, qui tradidérunt ánimas suas pro nómine Dómini nostri Iésu Christi. Mísimus ergo Iúdam et Silam, qui et ipsi verbis réferent eádem. Visum est enim Spirítui Sancto et nobis nihil ultra impónere vobis óneris quam hæc necessário: abstinére ab idolóthytis et sánguine et suffocátis et fornicatióne; a quibus custodiéntes vos bene agétis. Valéte.”
En ces jours là : quelques-uns venus de Judée, enseignaient ainsi les frères : Si vous n'êtes pas circoncis selon l'usage de Moïse, vous ne pouvez pas être sauvés.
Alors il plut aux Apôtres et aux anciens, ainsi qu'à toute l'Eglise, de choisir quelques-uns d'entre eux, et de les envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabé : Jude, surnommé Barsabas, et Silas, hommes éminents parmi les frères ; et ils leur remirent cette lettre : Les Apôtres et les anciens (prêtres), leurs frères, aux frères d'entre les gentils, qui sont à Antioche, en Syrie et en Cilicie, salut. Comme nous avons appris que quelques-uns, sortant du milieu de nous, sans aucun mandat de notre part, vous ont troublés par leurs discours et ont bouleversé vos âmes, il nous a plu, après nous être réunis ensemble, de choisir et de vous envoyer des délégués avec nos très chers Barnabé et Paul, ces hommes qui ont exposé leur vie pour le nom de Notre Seigneur Jésus-Christ. Nous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous rapporteront de vive voix les mêmes choses. Car il a semblé bon à l'Esprit-Saint et à nous de ne pas vous imposer d'autre fardeau que ces choses nécessaires : que vous vous absteniez des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de la fornication ; en vous gardant de ces choses, vous ferez bien. Adieu.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Lectio II
IIème lecture
Léctio libri Apocalýpsis beáti Ioánnis apóstoli (21,10-14.22-23)
Sústulit me ángelus in spíritu super montem magnum et altum et osténdit mihi civitátem sanctam Ierusálem descendéntem de cælo a Deo, habéntem claritátem Dei; lumen eíus símile lápidi pretiosíssimo, tamquam lápidi iáspidi, in modum crystálli; et habébat murum magnum et altum et habébat portas duódecim et super portas ángelos duódecim et nómina inscrípta, quæ sunt duódecim tríbuum filiórum Israel. Ab oriénte portæ tres, et ab aquilóne portæ tres, et ab austro portæ tres, et ab occásu portæ tres; et murus civitátis habens fundaménta duódecim, et super ipsis duódecim nómina duódecim apostólorum Agni. Et templum non vidi in ea: Dóminus enim, Deus omnípotens, templum illíus est, et Agnus. Et cívitas non eget sole neque luna, ut lúceant ei, nam cláritas Dei illuminávit eam, et lucérna eíus est Agnus.
L'ange me transporta en esprit sur une grande et haute montagne, et il me montra la cité sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu. Elle avait la gloire (clarté) de Dieu, et l’astre qui l’éclaire (sa lumière) était semblable à une pierre précieuse, à une pierre de jaspe brillante comme du cristal. Elle avait une grande et haute muraille, où il y avait douze portes ; et aux portes étaient douze anges, et des noms inscrits, qui sont les noms des douze tribus des enfants d’Israël. A l’orient, trois portes ; au nord (septentrion), trois portes ; au midi, trois portes, et au couchant (à l’occident), trois portes. Et la muraille de la ville avait douze fondements, et sur ces douze fondements étaient les noms des douze Apôtres de l’Agneau. Je n’y vis point de temple ; car le Seigneur, le Dieu tout-puissant en est le temple, ainsi que l’Agneau. Et la ville n’a pas besoin du soleil, ni de la lune pour qu’ils l’éclairent, car c’est la gloire de Dieu qui l’illumine et l’Agneau en est le flambeau (sa lampe).
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Evangelium
Evangile
Léctio sancti Evangélii secundum Ioánnem (14,23-29)
In illo tempore: Dixit Iesus discipulis suis: “Si quis díligit me, sermónem meum servábit, et Pater meus díliget eum, et ad eum veniémus et mansiónem apud eum faciémus; qui non díligit me, sermónes meos non servat. Et sermo, quem audítis, non est meus, sed eíus qui misit me, Patris. Hæc locútus sum vobis apud vos manens. Paráclitus autem, Spíritus Sanctus, quem mittet Pater in nómine meo, ille vos docébit ómnia et súggeret vobis ómnia, quæ dixi vobis. Pacem relínquo vobis, pacem meam do vobis; non quómodo mundus dat, ego do vobis. Non turbétur cor vestrum neque formídet. Audístis quia ego dixi vobis: Vado et vénio ad vos. Si diligerétis me, gauderétis quia vado ad Patrem, quia Pater maíor me est. Et nunc dixi vobis, priúsquam fiat, ut, cum factum fúerit, credátis.
En ce temps là, Jésus dit à Ses disciples : Si quelqu’un M’aime, il gardera Ma parole, et Mon Père l’aimera, et Nous viendrons à lui, et Nous ferons chez lui notre demeure. Celui qui ne M’aime pas ne garde pas Mes paroles ; et la parole que vous avez entendue n’est pas de Moi, mais de Celui qui M’a envoyé, du Père. Je vous ai dit ces choses pendant que Je demeurais avec vous. Mais le Paraclet, l’Esprit-Saint, que le Père enverra en Mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que Je vous ai dit. Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; ce n’est pas comme le monde la donne que Je vous la donne. Que votre cœur ne se trouble pas, et qu’il ne s’effraye pas. Vous avez entendu que Je vous ai dit : Je m’en vais, et Je reviens à vous. Si vous M’aimiez, vous vous réjouiriez de ce que Je vais auprès du Père, parce que le Père est plus grand que Moi. Et Je vous ai dit ces choses maintenant, avant qu’elles n’arrivent, afin que, lorsqu’elles seront arrivées, vous croyiez.
Verbum Dómini. ℟. Laus tibi, Christe.
Parole du Seigneur. ℟. Louange à Toi, ô Christ.
Offertorium
Offertoire
Ps. 65, 8-9 et 20
annotation: 2; %% (f3) BE(c)ne(c)dí(e!fg')ci(e)te(ce) gen(ce/fef)tes(fe..) *(,) Dó(eg/ih)mi(hhh)num(f) De(f!hhhf)um(fe~) no(ef/gfge)strum,(ce..) (;) et(f) ob(e)au(f)dí(hh)te(f_g) vo(e!hhh)cem(h'/ihh) lau(fe~)dis(hh) e(fgF~'E~)ius :(fe..) (:) qui(f) pó(hh)su(hji)it(ijhh/fgf.) (,) á(f!hji)ni(h)mam(hhh) me(fh)am(hhh) ad(h'/ihh) vi(f)tam,(f!gwhf/ghg.) (;) et(f) non(fe~) de(fh)dit(h'/ihh) com(f)mo(fe)vé(fh)ri(h'/ihh) (,) pe(f)des(e!hhh) me(f!gw!hvG'FE'f)os :(ef..) (:) be(e)ne(f)dí(hih)ctus(hhh) Dó(h'/ihh)mi(f)nus,(f_[oh:h]g_[oh:h]f._[oh:h]) (;) qui(ef) non(f/hih) a(hhh)mó(fge)vit(ce) (,) de(f)pre(f)ca(e)ti(f)ó(hh)nem(fg) me(e!hhh)am,(g_[oh:h]ef.) (;) et(f!hhh) mi(h)se(h)ri(f)cór(f!hhh)di(fe)am(efe___) su(ef!hv'1jvIH)am(h.) (,) a(h) me,(h_f/hhh/f_[oh:h]g_[oh:h]f._[oh:h]) (:) al(fg)le(e/hhhhiH//E'//f/hhh_f/hihi)lú(f_[oh:h]g_[oh:h]f_[oh:h]){ia}.(f.) (::)
Benedícite, gentes, Dóminum Deum nostrum, et obaudíte vocem laudis eius: qui pósuit ánimam meam ad vitam, et non dedit commovéri pedes meos: benedíctus Dóminus, qui non amóvit deprecatiónem meam, et misericórdiam suam a me, (Extr. Quadr. allelúia).
Nations, bénissez notre Dieu et faites entendre les accents de Sa louange ; c’est Lui qui a conservé la vie à mon âme, et qui n’a point permis que mes pieds soient ébranlés. Béni soit Dieu qui n’a pas rejeté ma prière ni éloigné de moi Sa miséricorde, (Hors Carême : alléluia).
Super oblata
Sur les oblats
Stans postea in medio altaris, versus ad populum, extendens et iungens manus, dicit:
Après cela, debout au centre de l'autel, tourné vers le peuple, en étendant puis joignant les mains, il dit :
Oráte, fratres, ut meum ac vestrum sacrifícium acceptábile fiat apud Deum Patrem omnipoténtem.
Priez, mes frères, pour que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, puisse être agréé par Dieu le Père tout-puissant.
Populus surgit et respondet:
Le peuple se lève et répond :
Suscípiat Dóminus sacrifícium de mánibus tuis ad laudem et glóriam nóminis sui, ad utilitátem quoque nostram totiúsque Ecclésiæ suæ sanctæ.
Que le Seigneur reçoive de vos mains le sacrifice, à la louange et à la gloire de Son nom, et aussi pour notre bien et celui de toute Sa sainte Église.
Deus, cuius Unigénitus, Póntifex noster, semper vivens sedet ad déxteram tuam ad interpellándum pro nobis, concéde nos adíre cum fidúcia ad thronum grátiæ, ut misericórdiam tuam consequámur.
Dieu, dont le Fils Unique, notre Grand Prêtre,
vivant pour toujours, est assis à Ta droite pour intercéder pour nous, accorde-nous d’avancer avec confiance vers le trône de la grâce, pour que nous recevions Ta miséricorde.
Communicantes proprium
Communicantes propre
Communicántes, et diem sacratíssimum celebrántes, quo Dóminus noster, unigénitus Fílius tuus, unítam sibi fragilitátis nostræ substántiam in glóriæ tuæ déxtera collocávit: sed et memóriam venerántes, in primis gloriósæ semper Vírginis Maríæ, Genetrícis eiúsdem Dei et Dómini nostri Iesu Christi: ¶
Unis dans une même communion et célébrant le jour très saint où Ton Fils unique Notre Seigneur a placé à la droite de Ta gloire notre fragile nature unie en lui à sa Divinité, et vénérant la mémoire en premier de la glorieuse Vierge Marie, Mère du même Jésus notre Dieu et notre Seigneur ¶
Post communionem
Post communion
Quæ ex altári tuo, Domine, dona percépimus, accéndant in córdibus nostris cæléstis pátriæ desidérium, et quo præcúrsor pro nobis introívit Salvátor, fáciant nos, eius vestígia sectántes, conténdere.
Que les dons que nous avons reçus à Ton autel, Seigneur, fassent monter en nos coeurs le désir de la patrie céleste, où le Sauveur est entré en précurseur pour nous, et qu’en suivant Ses traces, ils nous fassent tendre vers elle.
Ad Missam lectam:
A la Messe lue :
Ant. ad introitum
Ps 67, 33.35
Regna terræ cantáte Deo, psállite Dómino, qui ascéndit super cælum cæli; magnificéntia et virtus eius in núbibus, allelúia.
Allelúia
Mt 28, 1 9 . 20
℟. Alleluia. ℣. Eúntes docéte omnes gentes, dicit Dóminus: ego vobíscum sum ómnibus diébus usque
ad consummatiónem sáeculi.
Ant. ad communionem
Cf. Hebr 10, 12
Christus, unam pro peccátis ófferens hóstiam, in sempitérnum sedet in déxtera Dei, allelúia.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.
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