Prêtres du Seigneur, bénissez le Seigneur : saints et humbles de cœur, louez Dieu. ℣. Ibid., 57. Œuvres du Seigneur, louez toutes le Seigneur : louez-Le, et exaltez-Le à jamais. ℣. Gloire au Père.

En ces jours-là, Moïse redescendit de la montagne, portant dans ses mains les deux tables du témoignage, écrites des deux côtés, et faites par l'œuvre de Dieu ; l'écriture de Dieu était gravée sur les tables. Josué, entendant le tumulte du peuple qui criait, dit à Moïse : “Il y a un bruit de guerre dans le camp.” Moïse répondit : “Ce n'est ni un cri de victoire, ni un cri de défaite ; mais j'entends le bruit de gens qui chantent.” Lorsqu'il s'approcha du camp, il vit le veau et les danses ; alors, très en colère, il jeta les tables de ses mains et les brisa au pied de la montagne. Il prit le veau qu'ils avaient fait, le brûla au feu, le réduisit en poudre, qu'il répandit dans l'eau et fit boire aux enfants d'Israël. Moïse dit à Aaron : “Que t'a fait ce peuple pour que tu l'aies entraîné dans un si grand péché ?” Aaron répondit : “Que mon seigneur ne se mette pas en colère ; tu connais ce peuple, il est enclin au mal. Ils m'ont dit : ‘Fais-nous des dieux qui marchent devant nous ; car ce Moïse, l'homme qui nous a fait sortir du pays d'Égypte, nous ne savons ce qu'il est devenu.’ Je leur ai dit : ‘Qui a de l'or ?’ Ils l'ont enlevé et me l'ont donné ; je l'ai jeté au feu, et il en est sorti ce veau.” Le lendemain, Moïse dit au peuple : “Vous avez commis un grand péché ; je vais monter vers le Seigneur, peut-être obtiendrai-je le pardon de votre péché.” Moïse retourna vers le Seigneur et dit : “Je t'en prie, ce peuple a commis un grand péché, ils se sont fait des dieux d'or ; pardonne maintenant leur péché ; sinon, efface-moi de ton livre que tu as écrit.” Le Seigneur répondit à Moïse : “Celui qui a péché contre moi, je l'effacerai de mon livre. Va maintenant, conduis le peuple là où je t'ai dit ; mon ange marchera devant toi, mais au jour de ma vengeance, je les punirai de leur péché.

Parole du Seigneur. r. Rendons grâces à Dieu.

r. Voici le grand Pontife qui dans les jours de sa vie a plu à Dieu. v. Nul ne lui a été trouvé semblable, lui qui a conservé la loi du Très-Haut.

℟. Alléluia. ℣. Je suis le bon pasteur : et Je connais Mes brebis et elles Me connaissent.

En ce temps là : Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans leurs synagogues, et prêchant l’Évangile du royaume, et guérissant toute langueur et toute infirmité. Et voyant les foules, Il en eut compassion ; car elles étaient accablées, et gisaient comme des brebis qui n’ont point de pasteur. Alors Il dit à Ses disciples : La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers. Priez donc le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans Sa moisson.

Parole du Seigneur. ℟. Louange à Toi, ô Christ.

En ce temps là : Jésus proposa aux foules une autre parabole, en disant: Le royaume des Cieux est semblable à un grain de sénevé, qu'un homme a pris et semé dans son champ. C'est la plus petite de toutes les semences; mais lorsqu'elle a crû, elle est plus grande que tous les autres légumes, et elle devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent habiter sur ses branches. Il leur dit une autre parabole: Le royaume des Cieux est semblable au levain qu'une femme a pris et mêlé dans trois mesures de farine, jusqu'à ce que toute la pâte soit levée. Jésus dit toutes ces choses au peuple en paraboles; et Il ne leur parlait pas sans paraboles, afin que s'accomplît ce qui avait été dit par le prophète: J'ouvrirai Ma bouche en paraboles, Je publierai des choses cachée depuis la création du monde.

Parole du Seigneur. ℟. Louange à Toi, ô Christ.

J'ai trouvé David, Mon serviteur; Je l'ai oint de Mon huile sainte. Car Ma main l'assistera, et Mon bras le fortifiera.

Priez, mes frères, pour que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre, puisse être agréé par Dieu le Père tout-puissant.

Que le Seigneur reçoive de vos mains le sacrifice, à la louange et à la gloire de Son nom, et aussi pour notre bien et celui de toute Sa sainte Église.

Nous implorons humblement Ta majesté, Dieu tout-puissant, afin que, de même que les offrandes faites pour le bienheureux N. témoignent de la gloire de Ta puissance divine, elles nous procurent aussi l'effet de Ton salut.

Le Seigneur soit avec vous ℟. Et avec votre esprit. ℣. Haut les cœurs. ℟. Nous les avons dans le Seigneur. v. Rendons grâces au Seigneur notre Dieu. r. Cela est juste et bon.

Vraiment, il est digne et juste, équitable et salutaire, pour nous, toujours et partout de Te rendre grâces : Seigneur, Père saint, Dieu éternel et tout puissant : par le Christ notre Seigneur.

Parce que Tu nous accordes la joie de célébrer aujourd'hui la fête de saint N., en fortifiant Ton Église par l'exemple de sa sainte vie, en l'instruisant par sa parole et en la protégeant par son intercession.

C'est pourquoi, avec les anges et la foule des saints, nous Te chantons une hymne de louange, en disant sans fin :

Saint, Saint, Saint, le Seigneur Dieu des Armées...

Simon, fils de Jean, M'aimes-tu plus que ceux-ci ? Seigneur, Tu sais toutes choses ; Tu sais que je T'aime. (T.P. Alléluia)