Feria IV 24 Decembris 2025
Nono Kalendas Ianuarii, luna vigesima nona.
Die 24 decembris
1. Commemorátio ómnium sanctorum avórum Iesu Christi, fílii David, fílii Abraham, fílii Adam, mnibu mnibus, qui Deo placuérunt et iusti invénti sunt et iuxta fidem defúncti, nullis accéptis promissiónibus, sed longe eas aspiciéntes et salutántes, ex quibus natus est Christus secúndum earnem, qui est super ómnía Deus benedíctus in sǽcula.
1. Commémoraison de tous les saints ancêtres de Jésus le Christ, fils de David, fils d’Abraham, c’est-à-dire les pères qui ont plu à Dieu, qui ont été trouvés justes et qui sont morts dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses, mais après les avoir vues et saluées de loin, et c’est d’eux qu’est né le Christ selon la chair, Dieu béni au dessus de tout dans les siècles.
2. Burdígalæ in Aquitánia, sancti Delphíni, epíscopi, qui cum sancto Paulíno Noláno íntima familiaritáte coniúnctus est et arcéndis Priscilliáni erróribus strénuam dedit óperam.
2. À Bordeaux, en 403, saint Delphin, évêque, qui fut lié d’une grande amitié avec saint Paulin de Nole qu’il avait baptisé, et travailla énergiquement à arrêter les erreurs de Priscillien.
3. Romæ, commemorátio sanctæ Tarsíllæ, vírginis, cuius sanctus Gregórius Magnus, eius nepos, contínuam oratiónem, gravitátem vitæ et singulárem absJinéntiam mnibu.
3. À Rome, commémoraison de sainte Tarsilla, vierge, vers 550. Saint Grégoire le Grand, son neveu, a loué sa prière continuelle, le sérieux de sa vie et la rigueur exceptionnelle de son abstinence.
4. Apud Tréviros in Austrásia, sanctæ Irmínæ, abbatíssæ cœnóbii Horreénsis, quæ, matróna Deo sacráta, monasteríolum ab ipsa in villa sua Epternáci fundátum sancto Willibrórdo donávit et de suis largíta est.
4. À Trèves en Rhénanie, vers 710, sainte Irmine, abbesse du monastère d’Oeren. Matrone consacrée à Dieu, elle donna à saint Willibrord un petit monastère fondé par elle dans son domaine d’Echternach et le combla de ses biens.
5. Cracóviæ in Polónia, natális sancti Ioánnis de Kęty, cuius memória prídie huius diéi ágitur.
5. À Cracovie en Pologne, l’an 1473, la naissance au ciel de saint Jean de Kenty dont la mémoire a été célébrée la veille.
6*. Bonóniæ in Æmília, beáti Bartholomæi Maríæ Dal Monte, presbyteri, qui multis in regiónibus Itáliæ pópulo christiáno et clero verbum Dei prædicávit Piámque Operam Missiónum ad eúndem finem instítuit.
6*. À Bologne en Émilie, l’an 1778, le bienheureux Barthélemy-Marie Dal Monte, prêtre, qui prêcha la parole de Dieu au peuple chrétien et au clergé dans de nombreuses régions d’Italie et institua dans le même but l’Œuvre pieuse des missions.
7. Comónte apud Bérgomum in Langobárdia, sanctæ Paulæ Elísabeth (Constántiæ) Cerioli, quæ, mnibus praematúre mórtuis fíliis, vídua effécta, opes virésque ad rústicos púeros orphanósque sine spe futúri edocéndos impéndit et, Institútum Sorórum ac Congregatiónem Patrum Fratrúmque a Sacra Família fundans, gáudia matris in Dómino perdúxit.
7*. À Comonte, près de Bergame en Lombardie, l’an 1865, la sainte Paule-Élisabeth (Constance Cerioli), qui, perdit prématurément tous ses enfants. Devenue veuve, elle dépensa tous ses biens et ses forces pour l’éducation des enfants de la campagne et des orphelins sans espoir d’avenir et fonda l’Institut de la Sainte Famille de Bergame.
8. Annáiæ in Líbano, natális sancti Sarbélii (Ioséphi) Makhluf, cuius memória die vigésirria quarta mensis iúlii celebrátur.
8. À Annaya au Liban, en 1898, la naissance au ciel de saint Sharbel Mahluf, dont la mémoire est célébrée le 24 juillet.
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Is 33,2-3.5-6)
Lecture brève (Is 33,2-3.5-6)
Dómine, miserére nostri, te enim exspectávimus; esto bráchium nostrum in mane et salus nostra in témpore tribulatiónis. A voce fragóris fugérunt pópuli, ab exaltatióne tua dispérsæ sunt gentes. Sublímis est Dóminus, quóniam hábitat in excélso; implet Sion iudício et iustítia. Et erit fírmitas in tempóribus tuis; divítiæ salútis sapiéntia et sciéntia: timor Dómini ipse est thesáurus eius.
Seigneur, aie pitié de nous, car nous T'avons attendu ; sois notre bras dès le matin, et notre salut au temps de la tribulation. Au son du fracas, les (des) peuples ont fui, et devant Ta grandeur les (des) nations seront (ont été) dispersées. Le Seigneur a été exalté, car Il réside dans un lieu élevé ; Il a rempli Sion de jugement et de justice. La fidélité régnera dans ton temps ; la sagesse et la science seront les richesses du salut ; c'est la crainte du Seigneur qui en sera le trésor.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.