Dominica 1 Februarii 2026
Kalendis Februarii, luna quartodecima.
Die 1 februarii
1. In Phrygia, commemorátio sancti Tryphónis, mártyris.
1. En Phrygie, commémoraison de saint Tryphon, martyr.
2. Ravénnæ in Flamínia, sancti Sevéri, epíscopi.
2. À Ravenne en Flaminie, vers 389, saint Séverin, évêque.
3. Augústæ Tricastinórum in pago Gálliæ Viennénsi, sancti Pauli, epíscopi, a quo cívitas dein nomen sumpsit.
3. Dans la cité du Tricastin, dans la région de Vienne, sans doute au IVe siècle, saint Paul, évêque, dont la ville a pris ensuite le nom.
4. Kildáriæ in Hibérnia, sanctæ Brígidæ, abbatíssæ, quæ unum ex primis monastériis huius ínsulæ fundávit et opus evangelizatiónis a sancto Patrício inchoátum prosecúta esse fertur.
4. À Kildare en Irlande, l’an 523, sainte Brigitte, abbesse, qui aurait fondé un des premiers monastères de l’île et poursuivi l’œuvre d’évangélisation commencée par saint Patrice.
5*. Augústæ Prætóriæ in Alpibus Graiis, sancti Ursi, presbyteri.
5*. À Aoste, dans les Alpes Grées, au VIe siècle, saint Ours, prêtre.
6*. Anícii in Aquitánia, sancti Agrippáni, epíscopi et mártyris, qui Roma ad fines Velacórum revértens ab idolórum sectatóribus interféctus esse fertur.
6*. Dans le Velay, au VIe ou VIIe siècle, saint Agrève, évêque du Puy dont l’apostolat s’étendit jusqu’au Vivarais.
7*. Metis in Austrásia, sancti Sigisbérti regis Tértii, qui monastéria Stabulénse, Malmundariénse ac multa ália constrúxit et in ecclésias pauperésque liberáliter eleemósynas erogávit.
7*. À Metz, en 656, saint Sigisbert III, roi d’Austrasie, qui construisit les monastères de Stavelot, Malmédy et beaucoup d’autres, et fit de larges aumônes aux églises et aux pauvres.
8. In urbe Cirîie/os in Nova Castélla Hispániæ regióne, sancti Raymúndi, abbátis Fiteriénsis, qui Ordinis de Calatráva institútor et rei christiánæ propugnátor insígnis éxstitit.
8*. À Ciruelos en Nouvelle Castille, l’an 1163, saint Raymond, abbé cistercien de Fitero, dont il fut le fondateur avant de fonder l’Ordre de Calatrava, moitié militaire moitié monastique. Il fut aussi un remarquable combattant de la chrétienté contre le joug des Maures.
9*. In civitáte Sancto Maclóvio in Británnia Minóre, sancti Ioánnis, epíscopi, qui, vir miræ austeritátis et iustítiæ, sedem episcopálem Alethénsem eódem tránstulit et a sancto Bernárdo commendátus est, ut epíscopum páuperem, paupéribus amícum et paupertátis amatórem se præbéret.
9*. Dans la ville de Saint-Malo en Bretagne, l’an 1163, saint Jean, évêque. Admirable par son austérité et sa justice, il transféra dans cette ville le siège épiscopal d’Aleth, et saint Bernard le recommanda comme un évêque pauvre, ami des pauvres et amoureux de la pauvreté.
10*. Parísiis in Gállia, beáti Regináldi Aurelianénsis, presbyteri, qui, Romam tránsiens, sancti Domínici verbis ánimo captus, Ordinem Prædicatórum ingréssus est, ad quem virtútum exémplo et igníto elóquio plúrirnos attráxit.
10*. À Paris, en 1220, le bienheureux Réginald d’Orléans, prêtre, qui passant à Rome, fut saisi par la parole de saint Dominique et entra dans l’Ordre des Prêcheurs, auquel il attira un grand nombre par l’exemple de ses vertus et le feu de sa parole.
11*. Apud Castrum Florentínum in Etrúria, sanctæ Viridiánæ, vírginis, quæ a pueríli ætáte ad senéctam usque reclúsa vixit.
11*. Près de Castel-Florentin en Toscane, vers 1242, la bienheureuse Véridienne, vierge, qui vécut en recluse dans une cellule attenant à un oratoire, de sa jeunesse jusqu’à sa vieillesse.
12*. Pílei in Látio, beáti Andréæ de Comítibus Sígniæ, presbyteri ex Ordine Minórum, qui, ómnibus recusátis altióribus dignitátibus, in humilitáte et simplicitáte Christo famulári máluit.
12*. À Piglio dans le Latium, en 1302, le bienheureux André Conti, de la famille des comtes de Segni, prêtre de l’Ordre des Mineurs, qui refusa toutes les hautes dignités, préférant servir le Christ dans l’humilité et la simplicité.
13*. Eblánæ in Hibérnia, beatórum mártyrum Conóri O’Devany, epíscopi Dunénsis et Connorénsis, ex Ordine Fratrum Minórum, et Patrícii O’Lougham, presbyteri, qui, sub lacóbo rege Primo propter fidem cathólicam damnáti, suspéndii pœnam passi sunt.
13*. À Dublin, en 1612, les bienheureux martyrs Conor O’Devany, évêque de Down et Connor, franciscain, et Patrick O’Lougham, prêtre, qui, sous le roi Jacques Ier, furent condamnés à mort à cause de la foi catholique et subirent le supplice de la pendaison.
14. Londínii in Anglia, sancti Henríci Morse, presbyteri e Societáte Iesu et mártyris, qui, plúries captus et bis in exsílium pulsus, demum sub Cárolo rege Primo propter sacerdótiurn in cárcerem trusus, post Missam ibídem celebrátam Tybúrni láqueo Deo spíritum réddidit.
14. À Londres, en 1645, saint Henri Morse, prêtre jésuite et martyr. Plusieurs fois arrêté, deux fois envoyé en exil, il fut enfin, sous le roi Charles Ier, à cause de son sacerdoce, enfermé en prison et, après y avoir célébré la messe, pendu à Tyburn.
15*. Aprilíaci apud Andégavum in Gállia, pássio beatórum Maríæ Annæ Vaillot et quadragínta sex sociárum, mártyrum, quæ, cum terror in gállica perturbatióne sævíret, corónam martyrii consecútæ sunt.
15*. À Avrillé, près d’Angers, en 1794, la passion des bienheureuses Marie-Anne Vaillot et quarante-six compagnes, martyres, victimes de la Terreur sous la Révolution française, fusillées en raison de leur attachement à l’Église.
Quarum nomina: beatæ Othilia Baumgarten, religiosa; loanna Gruget, Ludovica Rallier de la Tertinière, Magdalena Perrotin, Maria Anna Pichery et Simona Chauvigné, viduæ; Francisca Pagis, loanna Fouchard, Margarita Rivière, Maria Cassin, Maria Fausseuse, Maria Galard, Maria Gasnier, Maria loanna Chauvigné, Maria Lenée, Maria Leroy Brevet, Maria Rouault, Petrina Phélippeaux, Renata Cailleau, Renata Martin et Victoria Bauduceau, uxores; I oanna, Magdalena et Petrina Sailland d’Espinatz, sorores; Gabriela, Petrina et Susanna Androuin, sorores; Maria et Renata Grillard, sorores; Anna Francisca de Villeneuve, Anna Hamard, Carola Davy, Catharina Cottanceau, Francisca Bellanger, Francisca Bonneau, Francisca Michau, Iacobina bonnier, loanna Bourigault, Ludovica Amata Dean de Luigné, Magdalena Blond, Maria Leroy, Petrina Besson, Petrina Ledoyen, Petrina Grille, Renata Valin et Rosa Quenion.
16. À Séoul en Corée, l’an 1840, les saints martyrs Paul Hong Yong-ju, catéchiste, Jean Yi Mun-u, qui s’occupait des pauvres et ensevelissait les corps des martyrs, et Barbara Ch’ œ Yong-i, qui suivit les exemples de ses parents et de son mari mis à mort pour le nom chrétien, tous les trois décapités.
i6. Seuli in Coréa, sanctórum mártyrum Pauli Hong Yóng-ju, catechístæ, Ioánnis Yi Mun-u, qui paupéribus ministrábat martyrúmque córpora sepeliébat, atque Bárbaræ Ch'oe Yóng-i, quæ exémpla parénturn et cóniugis pro christiáno nómine interfectórum sequens cum aliis decolláta est.
17*. À Turin dans le Piémont, en 1888, la bienheureuse Jeanne Françoise de la Visitation (Anne Michelotti), vierge, qui fonda l’Institut des Petites Sœurs du Sacré-Cœur, en vue du service gratuit des malades pauvres.
17*. Augústæ Taurinórum in Itália, beátæ loánnæ Francíscæ a Visitatióne (Annæ) Michelotti, vírginis, quæ Institútum Sorórum Parvárum a Sacro Corde fundávit, ut infírmis paupéribus gratuíto in Dómino servírent.
18*. À Cucuta en Colombie, l’an 1923, le bienheureux Louis Variara, prêtre salésien, qui mit tout en œuvre pour soigner les lépreux et fonda l’Institut des Sœurs Filles des Saints Cœurs de Jésus et Marie.
18*. In civitáte Cúcuta in Colúmbia, beáti Aloÿsii Variara, presbyteri e Societáte Sancti Francísci Salésii, qui leprósis omni ope et cura assédit et Soróres Fílias Sacrórum Córdium Iesu et Maríæ instítuit.
**. À Caracas au Vénézuéla, en 1940, la bienheureuse Candelaria de San José Paz Castillo Ramirez, fondatrice de la congrégation des petites sœurs des pauvres d’Altagracia de Orituco. (béatifiéé par Benoît XVI le 27 avril 2008) Décedée le 31 janvier, fête le 1 février
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Lecture brève (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Itaque, fratres, state et tenéte traditiónes, quas didicístis sive per sermónem sive per epístulam nostram. Ipse autem Dóminus noster Iesus Christus et Deus Pater noster, qui diléxit nos et dedit consolatiónem ætérnam et spem bonam in grátia, consolétur corda vestra et confírmet in omni ópere et sermóne bono.
Que Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance, consolent vos cœurs, et vous affermissent en toute bonne œuvre, et en toute bonne parole.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.