Feria II 16 Februarii 2026
Quartodecimo Kalendas Martii, luna vigesima nona.
Die 16 februarii
1. In Campánia, sanctæ luliánæ, vírginis et mártyris.
1. En Campanie, sainte Julienne, vierge et martyre.
2. Cæsaréæ in Palæstína, sanctórum mártyrum Elíæ, Ieremíæ, Isaíæ, Samuélis atque Daniélis, qui, christiáni ægyptii, cum sponte ministrássent fídei confessóribus in Cilícia ad metálla damnátis, comprehénsi et a Firmiliáno preside, sub Galério Maximiáno imperatóre, sævíssime torti, gládio demum percússi sunt. Post eos corónam martyrii accepérunt quoque Pámphilus présbyter, Valens diáconus Hierosolymitánus, et Paulus, ex Iámnia civitáte oriúndus, qui biénnium égerant in cárcere, sed et Porphyrius, Pámphili fámulus, Seléucus cáppadox, promótus in militia, Theodúlus, senex ex família præsidis Firmiliáni, tandem luliánus cáppadox, qui ipsa hora péregre advéniens, cum mártyrum córpora osculátus esset, ut christiánus delátus est et a preside lento igne combúri iussus.
2. À Césarée de Palestine, en 309, les saints martyrs Élie, Jérémie, Isaïe, Samuel et Daniel. Chrétiens d’Égypte, ils s’étaient volontairement dévoués au service des confesseurs de la foi condamnés aux mines en Cilicie. Arrêtés sous l’empereur Galère Maximien et torturés cruellement par le préfet Firmilien, ils périrent enfin par l’épée. Après eux reçurent aussi la couronne du martyre le prêtre Pamphile, Valens, diacre de Jérusalem, et Paul, originaire de Jamnia, qui avaient passé deux ans en prison, mais aussi Porphyre, serviteur de Pamphile, Séleucus de Cappadoce, promu dans l’armée, Théodule, vieillard de la famille du préfet Firmilien, enfin Julien de Cappadoce, qui survenant en étranger à l’heure même et embrassant les corps des martyrs, fut dénoncé comme chrétien et condamné par le préfet à être brûlé à feu lent.
3. In regno Pérsico, sancti Marúthæ, epíscopi, qui, pace Ecclésiæ réddita, Concílio Seleuciénsi præfuit, Dei Ecclésias in persecutióne Sáporis regis collápsas reparávit ac relíquias mártyrum Pérsidis in civitáte episcopáli, deínceps Martyrópoli nuncupáta, cóllocans.
3. Dans le royaume perse, vers 420, saint Marutha, évêque, qui présida le concile de Séleucie, quand la paix fut rendue à l’Église. Il répara les Églises de Dieu tombées dans la persécution du roi Sapor et rassembla les reliques des martyrs de Perse dans sa ville épiscopale, appelée dès lors Martyropole.
4*. Apud Burgum Sancti Petri in Aprútio, beátæ Philíppæ Mareri, vírginis, quæ, divítiis et sæculi fástibus spretis, sanctæ Claræ vitæ formam nuper incéptam in pátrio loco ampléxa est.
4*. À San Pietro del Molito dans les Abruzzes, en 1230, la bienheureuse Philippe Mareri, vierge, qui méprisa les richesses et le luxe du monde et embrassa dans son propre pays le genre de vie récemment inauguré par sainte Claire.
5*. Perúsiæ in Umbria, commemorátio beáti Nicolái Paglia, presbyteri ex Ordine Prædicatórum, qui a sancto Domínico hábitum et munus prædicatiónis accépit.
5*. À Pérouse en Ombrie, commémoraison du bienheureux Nicolas Paglia, prêtre de l’Ordre des Prêcheurs, qui reçut de saint Dominique l’habit et la mission de prédication, et mourut en 1256.
6*. Augústæ Taurinórum in Itália, beáti losêphi Allamano, presbyteri, qui, indefésso zelo ardens, ad fidem propagándarri binas suscitávit Congregatiónes Missiónurri a Consoláta, virórum nempe et mulíerum.
6*. À Turin dans le Piémont, en 1926, le bienheureux Joseph Allamano, prêtre, qui montra un zèle brûlant et infatigable pour la propagation de la foi, et donna naissance à deux Congrégations des Missionnaires de la Consolata, l’une d’hommes, l’autre de femmes.
** En Italie, en 1788, le bienheureux Mariano Arciero, prêtre. (Béatifié le 24 juin 2012 par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Rom 11, 16-18)
Lecture brève (Rom 11, 16-18)
Quod si primítiæ sanctæ sunt, et massa; et si radix sancta, et rami. Quod si áliqui ex ramis fracti sunt, tu autem, cum oleáster esses, insértus es in illis et consócius radícis pinguédinis olívæ factus es, noli gloriári advérsus ramos; quod si gloriáris, non tu radícem portas, sed radix te.
Si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi ; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi. Si quelques-uns des rameaux ont été brisés, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été enté parmi elles, et mis en participation avec la racine et la sève de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens des rameaux. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que la racine te porte.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.