Dominica 21 Iunii 2026
Undecimo Kalendas Iulii, luna quarta.
Die 21 iunii
1. Memória sancti Aloysii Gonzaga, religiósi, qui, príncipum stirpe natus et innocéntia vitæ claríssimus, avíto princi-
1. Mémoire de saint Louis de Gonzague, religieux. Issu de famille princière, d’une pureté de vie remarquable, il abdiqua en faveur de son frère la principauté de Mantoue pour entrer dans la Compagnie de Jésus, mais en prenant un pestiféré sur ses épaules pour le conduire à l’hôpital, il contracta le mal et mourut à l’âge de vingt-trois ans, en 1591.
pátu in fratrem transmísso, Societáti Iesu Romæ se adiúnxit, at, víribus fractus in morbo pestilénti contaminátis assidéndo, adhuc aduléscens mortem oppétiit.
2. À Gaël en Bretagne, au VIe siècle, saint Méen, abbé. Né au pays de Galles, il se retira dans la forêt au cœur de l’Armorique et y fonda un monastère.
2*. Gæli in Británnia Minóre, sancti Mevénni, abbátis, qui, ex Cámbria ortus, in silvam Armóricæ interióris recéssit ac monastérium cóndidit.
3. Au pays d’Évreux, en 718, saint Leufroy, abbé, qui fonda le monastère de la Sainte-Croix et le dirigea pendant environ quarante-huit ans.
3. In pago Ebroicénsi Néustriæ, sancti Leutfrídi, abbátis, qui monastérium Sanctæ Crucis cóndidit, cui annos círciter quadragínta et octo prǽfuit.
4*. À Bourges, en 866, saint Raoul, évêque. Soucieux de la vie de ses prêtres, il prit soin de composer avec eux une Institution pastorale recueillant en quarante-cinq chapitres des sentences des Pères et des canons conciliaires.
4*. Biturígis in Aquitánia, sancti Radúlphi, epíscopi, qui, de vita sacerdotáli sollícitus, cum presbyteris Ecclésiæ ipsi commíssæ capítula e sanctórum Patrum et cánonum senténtiis ad usum pastorálem collígere curávit.
5*. À Osca en Aragon, l’an 1126, le trépas de saint Raymond, évêque. Il était chanoine régulier quand il devint évêque de Barbastro et de Roda. Il ne voulait jamais agir de manière militaire contre les ennemis du nom chrétien et eut à souffrir des évêques voisins, qui annexèrent tantôt Roda, tantôt Barbastro.
5*. Oscæ in Aragónia, sancti Raymúndi, qui, ex canónico regulári epíscopus Roténsis et Barbastrénsis efféctus, numquam inimícos nóminis christiáni manu militári debelláre vóluit, quaprópter tres annos a sede sua expúlsus est.
6.*. A Urbevéti en Toscane, leBienheureux Thomas, religieux de l’ordre des servants de Marie.
6*. Urbevéti in Túscia, beáti Thomæ, religiósi ex Ordine Servórum Maríæ.
7. À Londres, en 1600, saint Jean Rigby, martyr. Fils d’un gentilhomme de Lancastre, d’abord anglican, il fut arrêté sous la reine Élisabeth Ière et condamné à mort, parce qu’il s’était réconcilié avec l’Église catholique ; il fut pendu à Southwark et éventré encore vivant.
7. Londínii in Anglia, sancti Ioánnis Rigby, mártyris, qui sub Elísabeth regína Prima Londínii deprehénsus et cápite damnátus, eo quod Ecclésiæ se cathólicæ reconciliavísset, Southvárci láqueo suspénsus est et adhuc vivens exenterátus.
8*. Dans la baie devant le port de Rochefort, en 1794, le bienheureux Jacques-Morelle Dupas, prêtre et martyr. Arrêté sous la Révolution française parce qu’il exerçait le ministère paroissial dans le Poitou, il fut enfermé sur un bateau négrier. Sévère pour lui-même, mais d’une grande douceur pour les autres, il mourut d’inanition.
8*. In navi ad áncoram deligáta in alto apud Rupifórtium in GÂ11i£ì, beáti lacóbi Morelle Dupas, presbyteri et mártyris, qui, ad Víncula damnátus quod ministérium parœciále in pago Pictaviénsi téiTlpore gállicæ perturbatiónis exercuísset, sevérus in se, in céteros vero dulcis, inédia consúmptus óbiit.
9. À Zapotlanejo au Mexique, en 1927, saint Joseph Isabel Flores, prêtre et martyr. Arrêté durant la grande persécution mexicaine, on lui promit la liberté s’il souscrivait aux lois anticléricales. Sur son refus, il fut fusillé.
9. In pago Zapotlanejo in México, sancti Ioséphi Isabel Flores, presbyteri et mártyris in témpore magnæ persecutiónis.
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Lecture brève (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Itaque, fratres, state et tenéte traditiónes, quas didicístis sive per sermónem sive per epístulam nostram. Ipse autem Dóminus noster Iesus Christus et Deus Pater noster, qui diléxit nos et dedit consolatiónem ætérnam et spem bonam in grátia, consolétur corda vestra et confírmet in omni ópere et sermóne bono.
Que Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance, consolent vos cœurs, et vous affermissent en toute bonne œuvre, et en toute bonne parole.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.