Sabbato 14 Novembris 2026
Decimo octavo Kalendas Decembris, luna triginta.
Die 14 novembris
1. Heracléæ in Thrácia, sancti Theódoti, mártyris.
1. À Héraclée en Thrace, saint Théodote, prêtre et martyr.
2. Gangra in Paphlagónia, sancti Hypátii, epíscopi, qui, a novatiánis hæréticis in via lapídibus óbrutus, martyr occúbuit.
2. À Gangres en Paphlagonie, au IVe siècle, saint Hypace, évêque et martyr, qui succomba sous les pierres lancées par les hérétiques novatiens sur son chemin.
3. Avenióne in Província, sancti Rufi, qui primus communitátis christiánæ huius loci præses censétur.
3. À Avignon, peut-être au IVe siècle, saint Ruf, que l’on estime avoir été le premier à diriger la communauté chrétienne de ce lieu.
4*. In ínsula Bardsey ad oram Cámbriæ septemtrionális, sancti Dubrícii, epíscopi et abbátis.
4*. Dans l’île de Bardsey au sud du pays de Galles, au VIe siècle, saint Dubrice, évêque et abbé, considéré comme un des fondateurs du monachisme au pays de Galles.
5*. Tragúrii in Dalmátia, sancti Ioánnis, epíscopi, qui, ex eremíta in monastério Camaldulénsium Absoritáno in episcopále munus ordinátus, civitátem a regis Colománni eversióne felíciter deféndit.
5*. À Traù ou Trogir en Dalmatie, l’an 1170, saint Jean, évêque. Après avoir été ermite au monastère camaldule d’Osorin, il reçut la charge de l’épiscopat et défendit avec succès la cité de la destruction du roi Coloman.
6. Augæ in Normánnia, tránsitus sancti Lauréntii O'Toole (Lorcan Ua Tuathail), epíscopi Dublinénsis, qui in angústiis ætátis suæ regulárem Ecclésiæ disciplínam strénue promóvit et concórdiam inter príncipes reconciliáre stúduit, demum Henríco rege Angliæ óbviam procedénte, ætérnæ pacis gáudia ipse consecútus est.
6. À Eu en Normandie, l’an 1180, le trépas de saint Laurent O’Toole, évêque de Dublin. Dans les circonstances difficiles de son temps, il défendit avec énergie la discipline de l’Église et s’appliqua à rétablir la concorde entre les princes. En allant au-devant du roi Henri II d’Angleterre, il obtint lui-même les joies de la paix éternelle.
7*. In cœnóbio Sanctæ Maríæ de Gualdo Mazocca prope Campum Bassum in Itália, beáti Ioánnis de Tuphária, eremítæ.
7*. Au monastère Sainte-Marie de Gualdo Mazocca près de Campobasso dans les Abruzzes, en 1170, le bienheureux Jean de Tupharia, ermite.
8*. In Horto Sanctæ Maríæ in Frísia, sancti Siárdi, abbátis ex Ordine Præmonstraténsi, qui regulári observántia et liberalitáte erga páuperes enítuit. ,
8*. Au Jardin de Sainte-Marie en Frise, l’an 1230, saint Siard, abbé prémontré, remarquable par son obéissance à la Règle et sa générosité envers les pauvres.
9*. Icósii in Africa septemtrionáli, sancti Serapiónis, qui primus ex Ordine Beátæ Maríæ de Mercéde pro redemptióne fidélium captivórum et christiánæ fídei prædicatióne martyrii palmam méruit obtinére.
9*. À Alger, en 1240, saint Sérapion, le premier membre de l’Ordre de la Merci qui mérita de recevoir la couronne du martyre pour la délivrance des captifs et la prédication de la foi chrétienne en pays infidèle.
10. Hierosólymæ, sanctórum Nicolái Tavelić, Deódati Aribert, Stéphani de Cúneo et Petri de Narbóne, presbyterórum ex Ordine Minórum et mártyrum, qui, christiánam religiónem coram Saracénis in público foro líbere prædicántes, constánter Christum Dei Fílium conféssi, igne cremáti sunt.
10. À Jérusalem, en 1301, les saints martyrs Nicolas Tavelic, Déodat Aribert, Étienne de Cuneo et Pierre de Narbonne, prêtres de l’Ordre des Mineurs ; ayant prêché librement la religion chrétienne sur la place devant les Sarrasins, ils confessèrent avec constance le Christ Fils de Dieu et furent brûlés vifs.
11*. Cáccami in Sicília, beáti Ioánnis Liccio, presbyteri ex Ordine Prædicatórum, qui, indeféssa caritáte in próximos, precatiónis Rosárii propagatióne et reguláris disciplínæ stúdio conspícuus, annos centum et úndecim natus in Dómino quiévit.
11*. À Caccamo en Sicile, l’an 1511, le bienheureux Jean Liccio, prêtre de l’Ordre des Prêcheurs. Remarquable par sa charité infatigable envers le prochain, son ardeur à propager la prière du Rosaire, son zèle pour la discipline régulière ; il s’endormit dans le Seigneur à l’âge de cent onze ans.
12. In arce Binh Dinh in Cocincína, sancti Stéphani Theodóri Cuénot, epíscopi e Societáte Parisiénsi Missiónum ad éxteras gentes et mártyris, qui, post vigínti quinque annos in labóribus apostólicis peráctos, furénte in christiános persecutióne imperatóris TQ Dúc, in elephántis stábulum coniéctus, ærúmnis exháustus occúbuit.
12. À Binh Dinh en Cochinchine, l’an 1861, saint Étienne-Théodore Cuénot, évêque et martyr. Membre de la Société des Missions étrangères de Paris, il passa plus de vingt-cinq ans dans les travaux apostoliques et, quand se déchaîna la persécution de l’empereur Tu Duc, il fut jeté dans une étable à éléphants et mourut, épuisé par les épreuves.
**. En Pologne, en 1872, la bienheureuse Maria Luisa Merkert, cofondatrice et première supérieure de la congrégation de Sainte Elisabeth. (béatifiée le 30 septembre 2007 par Benoît XVI)
**. En Italie, en 1889, la bienheureuse Maria Teresa di gesu (Maria Scrilli), religieuse, fondatrice de l’Institut de Notre Dame du Carmel. (béatifiée le 8 octobre 2006 par benoît XVI).
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Eccli 34,14-20)
Lecture brève (Eccli 34,14-20)
Spíritus timéntium Dóminum vivet, et in respéctu illíus benedicétur. Spes enim illórum in salvántem illos, et óculi Dei in diligéntes se. Qui timet Dóminum, nihil trepidábit et non pavébit, quóniam ipse est spes eius. Timéntis Dóminum beáta est ánima eius. Ad quem réspicit? Et quis est fortitúdo eius? Oculi Dómini super timéntes eum: protéctor poténtiæ, firmaméntum virtútis, tégimen ardóris et umbráculum meridiáni, custódia offensiónis et adiutórium casus, exáltans ánimam et illúminans óculos, dans sanitátem vitæ et benedictiónem.
Dieu aura soin de l'âme de ceux qui Le craignent, et ils seront bénis par Son regard. Car leur espérance est en Celui qui les sauve, et les yeux de Dieu sont sur ceux qui L'aiment. Celui qui craint le Seigneur ne redoutera rien, et il n'aura point de peur, parce que Dieu même est son espérance. Heureuse l'âme de celui qui craint le Seigneur. Vers qui regarde-t-il, et quel est son appui ? Les yeux du Seigneur sont sur ceux qui Le craignent ; Il est une protection puissante, un soutien solide, un abri contre la chaleur, un ombrage contre l'ardeur du midi, une sauvegarde contre la chute et un secours lorsqu'on est tombé ; Il élève l'âme et illumine les yeux ; Il donne la santé, la vie et la bénédiction.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.