Feria VI 20 Novembris 2026
Duodecimo Kalendas Decembris, luna sexta.
Die 20 novembris
1. Antiochíæ in Syria, sancti Basilíi, mártyris.
1. À Antioche de Syrie, saint Basile, martyr.
2. In civitáte Astigitána in Hispánia Bætica, sancti Crispíni, epíscopi et mártyris.
2. Dans la cité d’Ecija en Espagne, saint Crispin, évêque et martyr.
3. Doróstori in Mœsia, sancti Dásii, mártyris.
3. À Dorostore en Mésie, saint Dasius, martyr.
4. Augústæ Taurinórum in Ligúria, sanctórum Octávii, Solutóris et Adventóris, mártyrum.
4. À Turin en Ligurie, les saints martyrs Octavius, Solutor et Adventor.
5*. Vercéllis item in Ligúria, sancti Theonésti, mártyris, in cuius honórem sanctus Eusébius epíscopus exstrúxit basílicam.
5*. À Verceil, également en Ligurie, avant 313, saint Théoneste, martyr, en l’honneur de qui l’évêque saint Eusèbe construisit une basilique.
6*. Benevénti in Campánia, sancti Dori, epíscopi.
6*. À Bénévent en Campanie, au Ve siècle, saint Dorus, évêque.
7. Cabillóni in Burgúndia, sancti Silvéstri, epíscopi, qui, quadragésimo secúndo sui sacerdótii anno, plenus diérum atque virtútum migrávit ad Dóminum.
7. À Chalon-sur-Saône, entre 520 et 530, saint Silvestre, évêque, qui passa au Seigneur la quarante-deuxième année de son sacerdoce, plein de joies et de vertus.
8*. Ad montem luram in território Lugdunénsi, sancti Hippólyti, abbátis et epíscopi.
8*. Dans le Jura, après 772, saint Hippolyte, abbé de Saint-Oyend et évêque de Belley.
9. Constantinópoli, sancti Gregórii Decapolitáni, mónachi, qui monásticam primum et anachoréticam póstea vitam proféssus est; dein peregrínus efféctus, Thessalonícæ diútius consédit, tandem Constantinópoli, ubi pro defensióne sacrárum Imáginum fórtiter decértans ánimam Deo restítuit.
9*. À Constantinople, en 842, saint Grégoire le Décapolite, moine, qui professa d’abord la vie cénobitique, puis celle d’anachorète, se fit pèlerin, enfin séjourna longtemps à Constantinople, où il lutta avec beaucoup de vigueur pour la défense des saintes images.
10. In Anglia, sancti Edmúndi, mártyris, qui, rex Anglórum orientálium, in pr lio contra pagános invasóres captus pro Christi fide martyrio coronátus est.
10. Dans le Norfolk en Angleterre, l’an 870, saint Edmond, martyr. Roi des Angles de l’Est, il lutta contre l’invasion des Vikings, fut vaincu, capturé et tué, parce qu’il refusait de renier la foi chrétienne.
11. Hildésiæ in Saxónia Germániæ, sancti Bernwárdi, epíscopi, qui gregem ab incursiónibus deféridit, cleri disciplínam plúribus synodis instaurávit vitámque monásticam fovit.
11. À Hildesheim en Saxe, l’an 1023, saint Bernward, évêque, qui défendit son peuple des incursions slaves et normandes, restaura, grâce à plusieurs synodes, le disciple du clergé et favorisa la vie monastique.
12*. In Calábria, sancti Cypriáni, abbátis Calamiténsis, qui orientálium institúta et exémpla fidéliter custodívit, in se sevérus, paupéribus vero largus omnibúsque bonus consiliárius.
12*. En Calabre, vers 1190, saint Cyprien, abbé de Calami, qui garda fidèlement les statuts et les exemples des moines orientaux, et se montra sévère pour lui, généreux pour les pauvres et bon conseiller pour tous.
13. Hanóii in Tunquíno, sancti Francísci Xavérii Can, mártyris, qui, catechísta, sub imperatóre Minh Mąng pro fide strangulátus et decollátus est.
13. À Hanoï au Tonkin, en 1837, saint François-Xavier Can, martyr. Catéchiste, il fut étranglé et décapité pour la foi sous l’empereur Minh Mang.
14*. Vérulis in Látio Itáliæ, beátæ Maríæ Fortunátæ (Annæ Felícis) Viti, ex Ordine Sancti Benedícti, quæ per totum fere vitæ cursum vestiárii curam gessit, solis Régulæ præcéptis toto corde servándis inténta.
14*. À Veroli dans le Latium, en 1922, la bienheureuse Marie-Fortunée (Anne-Félice Viti), moniale bénédictine. Pendant presque tout le cours de sa longue vie, elle s’occupa de la lingerie du monastère, attentive à observer de tout son cœur les seuls préceptes de la Règle.
15*. Prope Valéntiam in Hispánia, beatórum Angelæ a Sancto Ioseph (Francíscæ) Lloret Martí et quattuórdecim sociárum, vírginum et mártyrum, quæ, áltera antístita generális, réliquæ religiósæ e Congregatióne Doctrínæ Christiánæ, persecutióne erga Ecclésiam in bello civíli sæviénte, pro Christi fide passæ sunt.
15*., En Espagne, la bienheureuse Angèle de saint-Joseph (Françoise Loret Marti) et quatorze compagnes, près de Valence, la première était supérieure générale et les autres religieuses de la Congrégation de la Doctrine chrétienne ; toutes victimes de la persécution religieuse au cours de la guerre civile.
Quarum nomina:,beatæ Maria a Suffragio (Antonia Maria) Orts Baldó, Maria a Doloribus (Maria de Monte Serrato) Llimona Planas, Teresia a Sancto I oseph (Ascensio) Duart y Roig, Elisabeth Ferrer Sabriá, Maria ab Assumptione (losepha) Mongoche Horns, Maria a Conceptione (Æmilia) Marti Lacal, Maria Gratia (Paula) a Sancto Antonio, Cor Iesu (Maria a Purificatione) Gómez Vives, Maria a Succursu (Teresia) Jiménez Baldoví, Maria a Dolóribus (Gertrudis) Surís Brusola, Ignatia a Sanctissimo Sacramento (I osepha) Pascual Pallardó, Maria a Rosario (Catharina) Calpe Ibáñez, Níaria a Pace (Maria Isabella) López García, Marcella a Sancto Thoma (Aurea) Navarro.
16*. In vico Picadero de Paterna item in pago Valentíno Hispániæ, beátæ Maríæ a Miráculis Ortells Gimeno, vírginis ex Ordine Clarissárum Capuccinárum et mártyris, in eádem terripestáte ob Christi testimónium coronátæ.
16*. Dans la région de Valence en Espagne, l’an 1936, la bienheureuse vierge et martyre Marie des Miracles Ortello Gimero, de l’Ordre des Clarisses capucines, à Picadero de Paterna
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Sap 18,1-3)
Lecture brève (Sg 18,1-3)
Sanctis tuis máxima erat lux; et horum quidem vocem illi audiébant, sed figúram non vidébant et, quia non et ipsi éadem passi erant, magnificábant; quóniam autem, qui ante læsi erant, non lædébant, grátias agébant et, quod eos ante distulíssent, donum petébant. Propter quod ignis ardéntem colúmnam, ducem ignótæ viæ, et solem sine læsúra gloriósæ peregrinatiónis præstitísti.
Une grande lumière éclairait Tes saints, et ceux-ci entendaient leur voix, mais ne voyaient pas leur visage. Pour eux, ils Te glorifiaient de ce qu'ils ne souffraient pas les mêmes peines ; et après avoir été maltraités auparavant, ils Te rendaient grâces maintenant qu'on avait cessé de leur nuire, et ils Te priaient de continuer à faire cette différence entre eux et leurs ennemis. C'est pourquoi ils eurent une colonne ardente de feu pour guide dans un chemin inconnu, et Tu leur as donné un soleil qui, sans les incommoder, les accompagnait heureusement.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.