Dominica 6 Decembris 2026
Octavo Idus Decembris, luna vigesima secunda.
Die 6 decembris
1. Sancti Nicolái, epíscopi Myrénsis in Lycia, sanctitáte et intercéssione apud thronum grátiæ divínæ præclári.
1. Mémoire de saint Nicolas, évêque de Myre en Lycie au IVe siècle, célèbre en Occident comme en Orient, car Dieu récompensa par de nombreux miracles sa charité et son zèle apostolique.
2. Romæ, commemorátio sanctæ Aséllæ, vírginis, quæ, ut sanctus Hierónymus scribit, vitam in ieiúniis et oratiónibus usque ad senéctam prodúxit.
2. À Rome, après 385, sainte Asella, vierge, qui vécut, selon le témoignage de saint Jérôme, jusqu’à une extrême vieillesse dans le jeûne et la prière.
3. In Africa, commemorátio sanctórum mártyrum, témpore vandálicæ persecutiónis sub Hunneríco rege ariáno, gravíssimis et innúmeris supplíciis pro cathólicæ fídei defensióne excruciatórum; ex quorum turma, Dionysia et fílius eius Maióricus laudántur, qui, cum adulescéntulus adhuc esset ac torménta pavésceret, matris obtútibus verbísque corrobor átus, céteris fórtior factus in torméntis ánimam réddidit.
3. Commémoraison des saints martyrs d’Afrique qui eurent à souffrir durant la persécution des Vandales, sous le roi arien Hunnéric, d’horribles tourments pour la défense de la foi catholique. Parmi eux, on loue en particulier Denise et son fils Majoric : il était encore jeune et redoutait les tortures, mais encouragé par les regards et les exhortations de sa mère, il devint le plus courageux de tous et rendit l’âme au milieu des tourments.
Inter quos: sancti Æmilius medicus, Dativa, Leontia, Tertius, Bonifatius Sibidensis, Servius, Victrix.
4*. Bríxiæ in Langobárdia, sancti Obítii, qui, eques, ad Deum convérsus et pæniténtiæ déditus, bona sua in públicam utilitátem erogávit.
4*. À Brescia en Lombardie, vers 1200, saint Obice. Chevalier, revenu à Dieu et voué à la pénitence, il donna tous ses biens pour l’utilité publique.
5*. Granátæ in Hispánia, beáti mártyris Petri Pascual, epíscopi Giennénsis, ex Ordine de Mercéde, qui, dum gregem visitábat ad pópulum in fídei defensiónem exhortándum, a Mauris comprehénsus, in vínculis deténtus óbiit.
5*. À Grenade en Espagne, l’an 1300, la passion du bienheureux Pierre Pascual, évêque de Jaén et martyr. Alors qu’il visitait son troupeau soumis à la domination des Maures, pour exhorter le peuple à défendre sa foi, il fut arrêté par les Maures et mourut en prison.
6. In civitáte Hái Dudng in Tunquíno, sancti Ioséphi Nguyen Duy Khang, mártyris, qui, catechísta et sancti epíscopi Hierónymi Hermosilla comes in itinêribus, curri eo in persecutióne TU Dúc imperatóris captus, flagellátus et in cárcere deténtus, novíssime decollátus est.
6. À Hai Duong au Tonkin, en 1861, saint Joseph Nguyên Duy Khang, martyr. Catéchiste et compagnon de route de l’évêque saint Jérôme Hermosilla, il fut capturé avec lui, flagellé, détenu en prison et enfin décapité, dans la persécution de l’empereur Tu Duc.
7*. In vico Picadero de Paterna in pago Valentíno Hispániæ, beátæ Aloysiæ Maríæ Frías Cañizares, vírginis et rnártyris, quæ, témpore persecutiónis erga fidem, certámine fídei fructum áttulit ætérnum.
7*. À Picadero de Paterna dans la région de Valence en Espagne, l’an 1936, la bienheureuse Louise-Marie Frias Cañizares, vierge et martyre, professeur d’université fusillée en haine de l’Église dans la persécution déchaînée au cours de la guerre civile.
** En Roumanie, en 1952, le bienheureux János Scheffler, évêque martyr victime de la persécution communiste contre l’Eglise catholique. (béatifié le 3 juillet 2011 par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Is 33,2-3.5-6)
Lecture brève (Is 33,2-3.5-6)
Dómine, miserére nostri, te enim exspectávimus; esto bráchium nostrum in mane et salus nostra in témpore tribulatiónis. A voce fragóris fugérunt pópuli, ab exaltatióne tua dispérsæ sunt gentes. Sublímis est Dóminus, quóniam hábitat in excélso; implet Sion iudício et iustítia. Et erit fírmitas in tempóribus tuis; divítiæ salútis sapiéntia et sciéntia: timor Dómini ipse est thesáurus eius.
Seigneur, aie pitié de nous, car nous T'avons attendu ; sois notre bras dès le matin, et notre salut au temps de la tribulation. Au son du fracas, les (des) peuples ont fui, et devant Ta grandeur les (des) nations seront (ont été) dispersées. Le Seigneur a été exalté, car Il réside dans un lieu élevé ; Il a rempli Sion de jugement et de justice. La fidélité régnera dans ton temps ; la sagesse et la science seront les richesses du salut ; c'est la crainte du Seigneur qui en sera le trésor.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.