Dominica 7 Februarii 2027
Septimo Idus Februarii, luna una.
Die 7 februarii
1. Nolæ in Campánia, sancti Máximi, epíscopi, qui témpore persecutiónis Ecclésiam huius civitátis rexit et longo perfúnctus ævo in pace óbiit.
(En Belgique, mémoire de saint Paul Miki et de ses compagnons, du 6).
2. Lámpsaci in Hellespónto, sancti Parthénii, epíscopi, qui, témpore Constantíni imperatóris, prædicatióne et exémplo vitæ fidem propagavísse tráditur.
1. À Nole en Campanie, au IIIe siècle, saint Maxime, évêque, qui dirigeait l’Église de cette ville à l’époque de la persécution et mourut dans un âge avancé.
3. In iugis montis Sina, sancti Móysis, qui primum in erémo vitam solitáriam duxit, deínde, Máuvia Saracenórum regína peténte epíscopus ordinátus, gentes ferocíssimas in pace compósuit et vitam christianórum illæsam custodívit.
2*. À Lampsaque dans l’Hellespont, au IVe siècle, saint Parthène, évêque, qui, rapporte-t-on, propagea la foi, à l’époque de Constantin, par sa prédication et l’exemple de sa vie.
4. Floréntiæ in Etrúria, sanctæ luliánæ, víduæ. 5*. Sipónti in Apúlia, sancti Lauréntii, epíscopi.
3. Dans la région du mont Sinaï, vers 389, saint Moïse, qui vécut d’abord en solitaire dans le désert, puis ordonné évêque à la demande de Mauvia, reine des Sarrasins, amena à la paix un peuple extrêmement violent et garda intacte la foi des chrétiens.
6. Lucæ in Etrúria, deposítio sancti Richárdi, patris sanctórum Willibáldi et Waldbúrgis, qui ab Anglia cum fíliis Romam peregrínans in itínere óbiit.
4. À Florence en Étrurie, au IVe siècle, sainte Julienne, veuve.
7. Soterióne in Phócide, sancti Lucæ lunióris, eremítæ.
5*. À Siponto en Apulie, vers 545, saint Laurent, évêque.
8*. Múciæ in Picéno Itáliæ, beáti Riccérii, qui inter sancti Francísci prim vos et caríssimos discípulos fuit.
6. À Lucques en Toscane, vers 720, la mise au tombeau de saint Richard, père des saints Winebald, Willibald et Walburge, qui, s’en allant d’Angleterre en pèlerinage à Rome avec ses fils, mourut en route dans cette ville.
9*. Asísii in Umbria, beáti Antónii de Stroncónio, religiósi ex Ordine Fratrum Minórum.
7*. À Sotérion en Phocide, l’an 945, saint Luc le Jeune, ermite.
10*. Londínii in Anglia, beáti Thomæ Sherwood, mártyris, qui, vestiárii negotiátor, ad sacerdótium Duáci se iam destináverat, cum ad ægrotánti et seni patri assidéndum Londínium pétiit, ubi apprehénsus, dum in via deambulábat, ad martyrium ductus est, sub Elísabeth regína Prima.
8*. À Mucia dans les Marches, en 1236, le bienheureux Rizzier, qui fut un des premiers et l’un des plus chers disciples de saint François.
11*. Albenáci in Vivariénsi Gálliæ província, beatórum mártyrum lacóbi Salès, presbyteri, et Guliélmi Saultemouche, religiósi, e Societáte Iesu, qui, prædicatióne sua pópulum cathólica fide corroborántes, post urbem a dissidéntibus captam, die domínica pro eádem fide coram pópulo trucidáti sunt.
9*. À Assise en Ombrie, en 1461, le bienheureux Antoine de Stroncone, religieux franciscain.
12. Neápoli in Campánia, sancti Ægídii Maríæ a Sancto loseph (Francísci) Pontillo, religiósi ex Ordine Fratrum Minórum, qui cotídie per vias civitátis humíllime stipem a pópulo emendicábat, ínvicem verba consolatiónis réddens.
10*. À Londres, en 1578, le bienheureux Thomas Sherwood, martyr. Marchand drapier, il se destinait au sacerdoce lorsqu’il revint à Londres pour assister son père malade et âgé. Il fut dénoncé, arrêté dans la rue et condamné pour haute trahison, parce qu’il regardait le reine Élisabeth Ière comme excommuniée, et fut pendu à Tyburn.
13. In civitáte Ciamscianénsi provínciæ Sinárum Hunanénsis, sancti Ioánnis de Trióra (Francísci Maríæ) Lantrua, presbyteri ex Ordine Fratrum Minórum et mártyris, qui, post diutúrnos sævi cárceris cruciátus, láqueo suffocátus est.
11*. À Aubenas dans le Vivarais, en 1593, les bienheureux martyrs Jacques Salès, prêtre, et Guillaume Saultemouche, tous les deux religieux de la Compagnie de Jésus. Par leur prédication ils affermissaient le peuple dans la foi catholique, mais après la prise de la ville par les dissidents en armes, ils furent tués un dimanche devant la foule pour la même foi. 1
14*. Parísiis in Gállia, beátæ Rosáliæ (loánnæ Maríæ) Rendu, vírginis e Puéllis a Caritáte, quæ, in domo quadam in paupérrima illíus urbis regióne constitúta, quam refúgium fecit egenórum, omni stúdio enísa est, ut páuperes in ipsis eórum domicíliis visitáret, pacem témpore bellórum civílium conciliáret et multos, máxime iúvenes et dívites, ad exercítium caritátis suscitáret.
12. À Naples, en 1812, saint Gilles-Marie de Saint-Joseph (Joseph Pontillo), religieux franciscain, qui tous les jours dans les rues de la cité mendiait l’aumône très humblement et en échange donnait des paroles de consolation.
15*. Ibídem, beátæ Maríæ a Providéntia (Eugéniæ) Smet, vírginis, quæ Institútum Sorórum ad auxiliándas ánimas in Purgatório degéntes fundávit.
13. À Changsha dans la province chinoise du Hunan, en 1816, saint Jean de Triora (François-Marie Lantrua), prêtre franciscain et martyr, qui, après des sévices prolongés dans une prison rigoureuse, mourut étranglé.
16*. Romæ, beáti Pii papæ Noni, qui, veritátem Christi, cui ab imo adh sit, plane proclámans, multas instítuit sedes episcopáles, cultum beátæ Maríæ Vírginis promóvit et Concílium Œcuménicum Vaticánum Primum ascívit.
14*. À Paris, en 1856, la bienheureuse Rosalie (Jeanne-Marie Rendu), vierge. Fille de la Charité, elle établit dans une maison d’un faubourg misérable de la ville un refuge pour les indigents et mit tout son zèle à visiter les pauvres chez eux, à mettre la paix durant les guerres civiles, et à entraîner un grand nombre, surtout des jeunes et des riches, à exercer la charité.
17. In loco Pont de Molins prope Gerúndam in Hispánia, beatórum mártyrum Ansélmi Polanco, epíscopi Terulénsis, et Philíppi Ripoll, presbyteri, qui, blandítiis ac minis contémptis, a fidelitáte erga Ecclésiam mínime lapsi sunt.
15*. À Paris, en 1871, la bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet), vierge, qui fonda la Congrégation des Auxiliatrices du Purgatoire, dans une totale confiance en la Providence.
18*. Prope Cracóviam in Polónia, beáti Adalbérti Nierychlewski, presbyteri e Congregatióne Sancti Michǽlis et mártyris, qui, e Polónia sub militáre régimen humánæ dignitáti ac religióni infénsum redácta in campum exítii Oświęcim seu Auschwitz propter Christi fidem deportátus, torméntis excruciátus occúbuit.
16*. À Rome, près de saint Laurent, en 1878, le bienheureux Pie IX, pape, qui proclama hautement la vérité du Christ, à laquelle il était attaché de tout son cœur, établit de nombreux sièges épiscopaux, promut le culte de la bienheureuse Vierge Marie et convoqua le premier Concile œcuménique du Vatican.
19*. In campo detentiónis óppidi Angarsk in Sibiriána Rússiæ província, beáti Petri Verhun, presbyteri et mártyris, qui, témpore persecutiónis erga religiónem, morte fidéli vitam ætérnam consecútus est.
17*. À Pont de Molins près de Girone en Espagne, l’an 1936, les bienheureux martyrs, Anselme Polanco, évêque de Teruel, et Philippe Ripoll, prêtre, qui dans la persécution religieuse au cours de la guerre civile espagnole, méprisèrent les flatteries et les menaces et ne fléchirent en rien de leur fidélité à l’Église, jusqu’à la mort.
18*. Au camp de concentration d’Auschwitz (Oswiecim), près de Cracovie en Pologne, l’an 1942, le bienheureux Adalbert Nierychlewski, prêtre de la Congrégation de Saint-Michel et martyr. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut déporté par le régime nazi à cause de la foi du Christ et succomba à la suite des tourments endurés.
19*. Au camp de travaux forcés d’Angarsk, près de Krasnoiarsk en Sibérie, l’an 1955, le bienheureux Pierre Verhun, prêtre et martyr, qui mourut en déportation durant la période de persécution soviétique contre la religion.
** En Italie, en 1893, la bienheureuse Anna Maria Adorni veuve, fondatrice des servantes de l’immaculée et de l’institut du Bon Pasteur (béatifiée le 3 octobre 2010 par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Lecture brève (2 Thess 2, 15-17; 3,5)
Itaque, fratres, state et tenéte traditiónes, quas didicístis sive per sermónem sive per epístulam nostram. Ipse autem Dóminus noster Iesus Christus et Deus Pater noster, qui diléxit nos et dedit consolatiónem ætérnam et spem bonam in grátia, consolétur corda vestra et confírmet in omni ópere et sermóne bono.
Que Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu notre Père, qui nous a aimés, et qui nous a donné par sa grâce une consolation éternelle et une bonne espérance, consolent vos cœurs, et vous affermissent en toute bonne œuvre, et en toute bonne parole.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.