Dominica 25 Aprilis 2027
Septimo Kalendas Maii, luna decima octava.
Die 25 aprilis
1. Festum sancti Marci, Evangelístæ, qui Hierosólymæ primo beátum Paulum secútus est in apostolátu, dein gréssibus adhńsit beáti Petri, ab illo fílius nuncupátus, cuius cateehésim ad Romános in Evangélio collegísse ac demum Ecclésiam Alexandríæ constituísse tráditur.
1. Fête de saint Marc, Évangéliste. De Jérusalem, il suivit d’abord saint Paul dans ses voyages missionnaires, puis s’attacha aux pas de saint Pierre, qui l’appelait son fils et dont, selon la tradition, il recueillit dans son Évangile la catéchèse aux Romains. Il aurait enfin fondé l’Église d’Alexandrie.
2. Commemorátio sancti Aniáni, epíscopi Alexandríæ in Ægýpto, qui, teste Eusébio, octávo Nerónis imperatóris anno, primus post sanctum Marcum huius civitátis episcopátum suscépit ac annos duos et vigínti ténuit, vir Deo accéptus et omni ex parte mirábilis.
2. Commémoraison de saint Anien, évêque d’Alexandrie, qui, au témoignage d’Eusèbe, la huitième année du règne de Néron, reçut, le premier après saint Marc, l’épiscopat de cette ville, qu’il tint pendant vingt-deux ans, jusque vers l’an 83, homme aimé de Dieu et admirable en toute sa conduite.
3. Doróstori in M‹æsia, sanctórum Pasícratis et Valentiónis, mártyrum, qui, Christum únicum Deum confiténtes, colla sua gládio audácter submisérunt.
3. À Dorostore en Mésie, vers 302, les saints martyrs Pasicrate et Valention.
4. Agínni in Aquitánia, sancti Phœbádii, epíscopi, qui contra ariános librum édidit et plebem suam ab hæresi protéxit.
4. À Agen, vers 393, saint Phébade, évêque, qui écrivit un ouvrage contre les ariens et protégea son peuple de l’hérésie.
5. Antiochíæ in Syria, sancti Stéphani, epíscopi et mártyris, qui multa ab hæréticis Concílium Chalcedonénse impugnántibus passus est et, témpore Zenónis imperatóris, in Oróntem flúvium præcipitátus occúbuit.
5. À Antioche de Syrie, en 470, saint Étienne, évêque et martyr. Il eut beaucoup à souffrir de la part des hérétiques opposés au Concile de Chalcédoine, et fut massacré par eux et précipité dans l’Oronte, au temps de l’empereur Zénon.
6. Viénnæ in Burgúndia, sancti Claréntii, epíscopi.
6. À Vienne sur le Rhône, au VIIe siècle, saint Clarent, évêque.
7. Láubii in Brabántia Austrásiæ, sancti Ermíni, abbátis et epíscopi, qui sancto Ursmáro succéssit, oratióni máxime inténtus et spíritu prophetíæ ornátus.
7. À Lobbes dans le Brabant, en 737, saint Ermin, abbé et évêque, qui succéda à saint Ursmer et fut un homme adonné surtout à la prière et doté de l’esprit de prophétie.
8 . In pago Placentíno in Æmília, sanctæ Francæ, abbatíssæ, quæ in Ordinem Cisterciénsem aggregári vóluit et in oratióne coram Deo pernoctáre studébat.
8*. À Plaisance en Émilie, l’an 1218, sainte Franche, abbesse, qui voulut agréger son monastère à l’Ordre cistercien et s’efforçait de passer la nuit en prière devant Dieu.
9*. Augústæ Prætóriæ in Alpibus Graiis, beáti Bonifátii Valperga, epíscopi, caritáte et humilitáte insígnis.
9*. À Aoste dans les Alpes, en 1243, le bienheureux Boniface Valperga, évêque, remarquable par sa charité et son humilité.
10*. In Vecta Angliæ ínsula, beatórum Robérti Anderton et Guliélmi Marsden, presbyterórum et mártyrum, qui, in persecutióne Elísabeth regínæ Primæ cápite damnáti quod, etiámsi per naufrágium tantum, sacerdótes in Angliam ingréssi essent, firmo ac seréno ánimo martyrium obiérunt.
10*. Dans l’île de Wight en Angleterre, l’an 1586, les bienheureux Robert Anderton et Guillaume Marsden, prêtres et martyrs. Sous le reine Élisabeth Ière, ils furent condamnés à mort pour être entrés en Angleterre, alors qu’ils étaient prêtres, même si c’était seulement à la suite d’un naufrage, et allèrent au martyre avec un cœur ferme et tranquille.
11. Antíquæ prope Guatimalópolim in América Centráli, sancti Petri de Betancur, religiósi e Tértio Ordine Sancti Francísci, qui sub patrocínio Dóminæ Nostræ de Béthlehem in órphanos, mendícos, infírmos, iúvenes rudes et derelíctos, peregrínos, necnon hómines labóribus damnátos sublevándos strénue se impéndit.
11. À Antigua près de la ville de Guatémala, en 1667, saint Pierre de Betancur, religieux du Tiers-Ordre de Saint-François. Sous le patronage de Notre-Dame de Bethléem, il se dépensa avec énergie pour soulager les orphelins, les mendiants, les jeunes sans instruction et abandonnés, les étrangers et les condamnés aux travaux forcés.
12. In vico Remedéllo in pago Brixiénsi Itáliæ, beáti Ioánnis Piamarta, presbyteri, qui inter graves ærúmnas Institútum Parvórum Artíficum Bríxiæ aggréssus est atque in finítimis colóniam agrícolam, ut iúvenes institutiónem religiósam accíperent una cum disciplína cuiúsdam artifícii iunctam, ad quod opus impléndum étiam Congregatiónem Sacræ Famíliæ a Názareth cóndidit.
12*. À Remedello, au pays de Brescia en Lombardie, l’an 1913, saint Jean Piamarta, prêtre, qui, au milieu de lourdes épreuves, fonda l’Institut des petits artisans de Brescia et, dans le voisinage, une colonie agricole où les jeunes recevraient une formation religieuse tout en apprenant un métier, et pour cette œuvre il établit également la Congrégation de la Sainte Famille de Nazareth. Canonisé le 21 octobre 2012 par Benoit XVI.
** Au Mexique, en 1927, le bienheureux Giuseppe Trinità Rangel (1887-1927) prêtre martyr. (Béatifié le 20 novembre 2005 par Benoît XVI)
** Au Mexique, en 1927, le bienheurux Andrea Solá Molist (1895-1927) prêtre martyr. (Béatifié le 20 novembre 2005 par Benoît XVI)
** Au Mexique, en 1927, le bienheureux Leonardo Pérez (1883-1927) prêtre martyr. (Béatifié le 20 novembre 2005 par Benoît XVI)
** Au Mexique, en1931, le bienheureux Dario Acosta Zurita (1908-1931) prêtre martyr. (Béatifié le 20 novembre 2005 par Benoît XVI)
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Act 13, 30-33)
Lecture brève (Act 13, 30-33)
Deus suscitávit Iesum a mórtuis; qui visus est per dies multos his, qui simul ascénderant cum eo de Galilæa in Ierúsalem, qui nunc sunt testes eius ad plebem. Et nos vobis evangelizámus eam, quæ ad patres promíssio facta est, quóniam hanc Deus adimplévit fíliis eórum, nobis resúscitans Iesum, sicut et in Psalmo secúndo scriptum est: Fílius meus es tu; ego hódie génui te.
Dieu a ressuscité Jésus d'entre les morts; et pendant bon nombre de jours, Il est apparu à ceux qui étaient montés avec Lui de la Galilée à Jérusalem, et qui maintenant sont Ses témoins auprès du peuple. Nous aussi, nous vous annonçons que la promesse faite à (nos) pères, Dieu l'a accomplie pour nous, leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon ce qui est écrit dans le psaume deuxième: Tu es mon Fils, Je T'ai engendré aujourd'hui.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :
Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.
Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.