Sabbato 4 Septembris 2027
Pridie Nonas Septembris, luna triginta.
Die 4 septembris
1. Commemorátio sancti Móysis, prophétæ, quem Dens elégit, ut pópulum in Ægýpto oppréssum liberáret et in terram promissiónis addúceret; cui étiam in monte Sina sese revelávit dicens: « Ego sum qui sum », atque legem propósuit, quæ vitam pópuli elécti régeret. Ille servus Dei in monte Nebo terræ Moab coram terra promissiónis plenus diérum óbiit.
1. Commémoraison de saint Moïse, prophète, choisi par Dieu pour libérer son peuple opprimé en Égypte et le conduire vers la terre de la promesse. C’est à lui aussi que Dieu se révéla sur le mont Sinaï en disant “Je suis celui qui suis”, et lui a donné sa loi, qui devait diriger la vie du peuple élu. Il mourut, comblé de jours, au mont Nébo en terre de Moab, en face de la terre promise, au XIIe siècle avant le Christ.
2. Cabillóni in Gállia Lugdunénsi, sancti Marcélli, mártyris.
2. À Chalon-sur-Saône, au IIIe ou IVe siècle, saint Marcel, martyr.
3. Romæ in cœmetério Máximi via Salária, deposítio sancti Bonifátii papæ Primi, qui multas de disciplína ecclesiástica controvérsias compósuit.
3. À Rome au cimetière de Maxime, sur la voie Salarienne, en 422, la mise au tombeau de saint Boniface Ier, pape, qui apaisa beaucoup de controverses sur la discipline de l’Église.
4*. Carnúti in Néustria, sancti Caletrícis, epíscopi.
4*. À Chartres, vers 573, saint Calétric, évêque, qui succéda à saint Lubin et se montra d’un esprit bienveillant, prêt à toute-bonne œuvre.
5*. Heresféldæ in Saxónia, sanctæ Idæ, Ecbérti ducis víduæ, caritáte in páuperes et oratiónis assiduitáte insígnis.
5*. À Herzfeld en Saxe, l’an 825, sainte Ida, veuve du duc Ecbert, remis la prière.
6.
Quarum nómina: sanctæ Maria Pak Kun-a-gi Hui-sun, soror sanctæ Luciæ Pak Hui-sun; Barbara Kwón-húi, uxor sancti Augustini Yi Kwang-hón; Barbara Yi Chóng-húi; Maria Yi Yón-húi, uxor sancti Damiani Nam Myóng-hyóg; Agnes Kim Hyo-ju.
6*. Mímati in Aquitánia, sancti Fredáldi, epíscopi et mártyris.
6*. À Mende vers le IXe siècle, saint Frézal, évêque.
7*. Colóniæ Agrippínæ in Lotharíngia, sanctæ I rmgárdis, quæ, comitíssa de Süchteln, bona sua impéndit pro ecclésiis condéndis.
7*. À Cologne, vers 1089, sainte Irmgarde, comtesse de Süchteln, qui dépensa ses biens pour la construction d’églises.
8. Panórmi in Sicília, sanctæ Rosáliæ, vírginis, quæ in monte Pellegríno solitáriam vitam duxísse créditur.
8. À Palerme en Sicile, au XIIe siècle, sainte Rosalie, vierge, qui mena, dit-on, une vie solitaire sur le mont Pellegrino.
9*. Caramániæ in Subalpínis, beátæ Catharínæ Mattei, vírginis, soróris de Pæniténtia Sancti Domínici, quæ perpétuam malam valetúdinem, hóminum calúmnias et omnes temptatiónes mira caritáte et virtútum cópia tolerávit.
9*. À Caramagno dans le Piémont, en 1547, la bienheureuse Catherine Mattei, vierge, sœur de la Pénitence de Saint-Dominique, qui supporta, avec une admirable charité et une abondance de vertus, une mauvaise santé continuelle, les calomnies des hommes, de dures tentations et l’exil.
10*. In freto maris ad áncoras ante Rupifórtium ad litus Gálliæ, beáti Scipiónis Hierónymi Brigéat de Lambert, presbyteri et mártyris, qui, canónicus Abrincénsis, in persecutióne tempóribus gállicæ perturbatiónis propter sacerdótium in navem actuáriam inhumáne coniéctus, fame afféctus occúbuit.
10*. Sur l’île Madame, au large du port de Rochefort, en 1794, le bienheureux Scipion-Jérôme Brigéat de Lambert, prêtre et martyr. Chanoine d’Avranches au moment de la Révolution française, il fut déporté à cause de son sacerdoce, dans des conditions inhumaines, sur un bateau négrier et succomba d’inanition.
11*. In urbe Sillery in Quebéco Cánadæ província, beátæ Maríæ a sancta Cæcília Romána (Dinæ) Bélanger, vírginis, ex Congregatióne Religiosárum Iesu et Maríæ, quæ gravis morbi vim haud paucos annos soli Deo confísa tolerávit.
11*. À Sillery dans le Québec, en 1929, la bienheureuse Dina Bélanger (Marie de Sainte-Cécile-Romaine), vierge, de la Congrégation de Jésus et Marie, qui supporta de longues années une grave maladie, mettant sa confiance en Dieu seul.
12*. In urbe Oroğesa apud Castáliam ad litus Hispániæ, beáti Ioséphi Paschális Carda Saporta, presbyteri e Sodalitáte sacerdótum operariórum diœcesanórum et mártyris, qui, persecutióne erga Ecclésiam sæviénte, in ódium religiónis ad gloriósum martyrium tractus est.
12*. À Oropesa en Castille, en 1936, les bienheureux martyrs Joseph-Pascal Carda Saportta, de la Fraternité des prêtres ouvriers diocésains ; à Teulada, près d’Alicante, Franços Sendra Ivars, prêtre ; et à Genovès dans la région de Valence, Bernard (Joseph Bieda Grau) religieux capucin, victimes de la persécution menée contre l’Église au cours de la guerre civile espagnole.
13*. In vico Teulada prope Lucéntum item in Hispánia, beáti Francísci Sendra Ivars, presbyteri et mártyris, qui in eádem persecutióne erga fidem martyrium passus est.
13*. En Espagne, à Teulada, près d’Alicante, le bienheureux François Sendra Ivars, prêtre et martyr.,
14. Prope vicum Genovés in pago Valentíno item in Hispánia, beáti Bernárdi (Ioséphi) Bieda Grau, religiósi ex Ordine Fratrum Minórum Capuccinórum et mártyris, qui in eádem tempestáte pro Christo egrégium perégit certámen.
14. En Espagne, à Genovès dans la région de Valence, le bienheureux Bernard (Joseph Bieda Grau) religieux capucin,
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de  Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Eccli 34,14-20)
Lecture brève (Eccli 34,14-20)
Spíritus timéntium Dóminum vivet, et in respéctu illíus benedicétur. Spes enim illórum in salvántem illos, et óculi Dei in diligéntes se. Qui timet Dóminum, nihil trepidábit et non pavébit, quóniam ipse est spes eius. Timéntis Dóminum beáta est ánima eius. Ad quem réspicit? Et quis est fortitúdo eius? Oculi Dómini super timéntes eum: protéctor poténtiæ, firmaméntum virtútis, tégimen ardóris et umbráculum meridiáni, custódia offensiónis et adiutórium casus, exáltans ánimam et illúminans óculos, dans sanitátem vitæ et benedictiónem.
Dieu aura soin de l'âme de ceux qui Le craignent, et ils seront bénis par Son regard. Car leur espérance est en Celui qui les sauve, et les yeux de Dieu sont sur ceux qui L'aiment. Celui qui craint le Seigneur ne redoutera rien, et il n'aura point de peur, parce que Dieu même est son espérance. Heureuse l'âme de celui qui craint le Seigneur. Vers qui regarde-t-il, et quel est son appui ? Les yeux du Seigneur sont sur ceux qui Le craignent ; Il est une protection puissante, un soutien solide, un abri contre la chaleur, un ombrage contre l'ardeur du midi, une sauvegarde contre la chute et un secours lorsqu'on est tombé ; Il élève l'âme et illumine les yeux ; Il donne la santé, la vie et la bénédiction.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :

Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.

Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.
Retour en haut